Lon se demande parfois. L'on se demande parfois Ă  quoi ressemble la fin du monde. Comment tout ce que l'homme a construit, et a rĂȘvĂ©, pourrait – du jour au lendemain – disparaĂźtre Ă  tout jamais. On pense y Ă©chapper. On pense pouvoir s'enfuir. On se dit que demain sera meilleur, que demain est un autre jour. Un jour nouveau, et que

Aller au contenu 85 citations de Winston Churchill Sir Winston Leonard Spencer-Churchill 30 novembre 1874 - 24 janvier 1965 est un homme politique britannique. Surtout connu pour avoir dirigĂ© le Royaume-Uni pendant la Seconde Guerre mondiale, cet homme d'État fut premier ministre du Royaume-Uni de 1940 Ă  1945 et de nouveau de 1951 Ă  1955. Il obtient le prix Nobel de LittĂ©rature en 1953. Genre Homme NationalitĂ© Britannique Profession, rĂ©compenses Homme politique, Prix Nobel de littĂ©rature Date de naissance 30 novembre 1874 Date de dĂ©cĂšs 24 janvier 1965 On ne devrait jamais tourner le dos Ă  un danger pour tenter de le fuir. Si vous le faites, vous le multiplierez par deux. Mais si vous l'affrontez rapidement et sans vous dĂ©rober, vous le rĂ©duirez de moitiĂ©. Danger Si un asticot est nourri de gelĂ©e royale, il se prend pour la reine abeille. VanitĂ© S'il faut cĂ©der, mieux vaut le faire avec la meilleure grĂące possible. MĂ©moires de Guerre 1941-1945, Ă©d. Tallandier Non dĂ©fini Un avancement doit ĂȘtre dĂ» au mĂ©rite et non Ă  l'Ăąge. Savrola RĂ©compense Ne me faites pas d'objections. Les difficultĂ©s en feront assez d'elles-mĂȘmes. DifficultĂ©s Manger mes mots ne m'a jamais donnĂ© d'indigestion. Mots Mieux vaut pĂ©rir en combattant que d'affronter le spectacle de l'outrage. CombativitĂ© La dĂ©ception engendre l'animositĂ©. MĂ©moires sur la DeuxiĂšme Guerre mondiale DĂ©ception C'est une bonne chose de lire des livres de citations, car les citations, lorsqu'elles sont gravĂ©es dans la mĂ©moire, vous donnent de bonnes pensĂ©es. Citations Un pessimiste voit la difficultĂ© dans chaque opportunitĂ© ; un optimiste voit l'opportunitĂ© dans chaque difficultĂ©. Optimisme Chacun sait que dans le train de l'entreprise, le vendeur est la locomotive. Commerce Le succĂšs consiste Ă  aller d'Ă©chec en Ă©chec sans perdre son enthousiasme. SuccĂšs Mieux vaut ĂȘtre irresponsable et dans le vrai que responsable et dans l'erreur. ResponsabilitĂ© Il est toujours sage de regarder en avant, mais il est difficile de regarder plus loin qu'on ne peut voir. Avenir

Enfin de 2013 Ă  2014 ; enfin, le numĂ©ro de la carte bancaire est passĂ© de 0 Ă  xxxx ; enfin, j'ai terminĂ© l'examen du semestre et entrĂ© l'heure de dĂ©part AVOCATS - NOTAIRESGRANDE PROFESSIONDU DROITPromouvoir le "rapprochement"des professions d'avocat et de notaire,et la "grande profession du droit"Contact Bernard TRIGALLOUDiplĂŽmĂ© Notaire Paris DESS Droit des Affaires Pour la numĂ©risation des documents joints Ă  vos mails, merci de respecter les paramĂštres suivants - format pdf - dĂ©finition 150 dpi - un fichier par du blog Bernard le livre "L'honneur d'un notaire" gratuit Sivous vivez l’enfer, continuez – Winston Churchill. Comme l’a si bien dit Winston Churchill, nous devons continuer Ă  avancer. Nous devons continuer Ă  avancer mĂȘme les jours oĂč nous nous sentons un peu
Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon sortie d’un nouveau ... Voir le deal THE MIGHTY JUNGLE / time flies ! - CHARACTER N. a person, an individual - WE CAN BE HEROES fiche de liensPartagezAuteur◄ Winston Churchill a dit un jour Si vous traversez l’enfer, continuez d’avancer ! ».Corey O'Malley LONG BEACH INHABITANTMESSAGES 15ARRIVAL 17/01/2016© FACE CLAIM Ian HardingSujet Winston Churchill a dit un jour Si vous traversez l’enfer, continuez d’avancer ! ». Jeu 21 Jan - 1051 corey o'malleyCroire en soi c’est dĂ©jĂ  presque rĂ©ussir. CELEB Ian Harding // Kaakook, les frĂšres scott◄ Nom complet Corey O'Malley Âge 26 ans bientĂŽt 27 Date et lieu de naissance 30 juin 1989 Ă  Long BeachOrigines AmĂ©ricaine NationalitĂ© AmĂ©ricaine ActivitĂ© professionnelle Pilote de course automobile Etudes Avoir obtenu son permis compte ? Bon trĂȘve de plaisanterie, tu as Ă©galement un diplĂŽme de comptable, on ne sait jamais n'est-ce pas ? Statut financier AisĂ©eEtat civil CĂ©libataire Orientation sexuelle HĂ©tĂ©rosexuelle◄ QualitĂ©s et dĂ©fauts Aimable ; CĂąlin ; CultivĂ© ; Sociable ; CompĂ©titif ; Un peu dĂ©pensier ; Maniaque ; Un peu impulsif one day baby, we'll be old01. Tu viens d'une famille modeste et tu ne t'en ai jamais plaint, car pour toi l'argent ne fait pas le bonheur. 02. Tes parents t'on racontĂ© que s'ils auraient Ă©coutĂ©s les mĂ©decins tu n'aurais jamais dĂ» voir le jour, car ta mĂšre aurait trĂšs bien pu ne pas survivre Ă  la grossesse. 03. Tu es donc le seul enfant biologique des O'Malley, mais en 1995 la famille a accueilli deux autres enfants, d'un an moins que toi, des faux jumeaux, un gars/une fille, tes parents les ont adoptĂ©s 04. Les jumeaux et toi au fil des annĂ©es vous ĂȘtes devenu trĂšs proche. 05. Tu as fait des Ă©tudes de comptable, parce que les chiffres et bien tu aimes ça tout simplement. Tu es mĂȘme ressorti premier de ta promo. 06. Tu es un fan de voiture, mais surtout un grand fan de course y Ă  deux ans, tu as gagnĂ© un concours pour passĂ© toute une journĂ©e sur une piste de course et ça a Ă©tĂ© le plus beau jour de ta vie. Tu as pu conduire la voiture de course et c'est comme ça que le pilote a repĂ©rĂ© ton talent. Durant le reste de la journĂ©e vous avez parlĂ© et il t'a proposĂ© d'ĂȘtre toi aussi un pilote de course et tu as Tu cours pour l'Ă©curie "Ferrari" et si au dĂ©but Ă  cause du trac tu finissais dans les derniers, maintenant tu finis toujours dans les trois premiers. 09. Ta famille n'approuve pas vraiment ton choix de carriĂšre, car ils ont peur pour toi, mais ils savent que ça te plait alors ils essaient de faire avec. 10. Tu as comptes bancaire rempli, il y Ă  beaucoup, beaucoup de chiffre dedans tu ne sais mĂȘme plus quoi en faire, alors tu fais des cadeaux Ă  tes proches. Tu es gĂ©nĂ©reux et attentionnĂ© c'est comme ça. 11. MalgrĂ© le succĂšs, malgrĂ© l'argent, tu as su restĂ© toi-mĂȘme, tu n'es pas fier, tu n'Ă©tale pas ton succĂšs Ă  tout bout de champ... Au contraire tu restes discret lĂ -dessus. 12. Tu possĂšde un labrador qui rĂ©pond au nom Lucifer et tu as Ă©galement un angora, une femelle stĂ©rilisĂ©, Ă  poil long noir rĂ©pondant au nom de Nina. 13. Tu aimes beaucoup cuisiner, des nouilles Ă  la carbonara, des ragoĂ»ts de viandes, du pain perdu... Lors des repas de famille c'est toi qui cuisine. C'est une passion. 14. Tu cours Ă©galement deux heures par jour, une heure le matin et une heure le soir avec ton chien, pour entretenir la forme. 15. Tu as fais la rencontre d'une jeune femme, en fait c'est la serveuse au cafĂ© oĂč tu vas. Et tu l'avoues tu es tombĂ© littĂ©ralement sous le charme de cette nouvelle arrivante en ville. Tu as du mal Ă  la sortir de ta tĂȘte. Tu as envie de l'invitĂ© Ă  dĂźner, mais tu crains sa rĂ©ponse. Corey O'Malley LONG BEACH INHABITANTMESSAGES 15ARRIVAL 17/01/2016© FACE CLAIM Ian HardingSujet Re Winston Churchill a dit un jour Si vous traversez l’enfer, continuez d’avancer ! ». Jeu 21 Jan - 1051 Les femmes Mack Corey O'Malley LONG BEACH INHABITANTMESSAGES 15ARRIVAL 17/01/2016© FACE CLAIM Ian HardingSujet Re Winston Churchill a dit un jour Si vous traversez l’enfer, continuez d’avancer ! ». Jeu 21 Jan - 1052 Les HommesÀ vous <3 Kiara HudsonPretty and sexy admin MESSAGES 374ARRIVAL 17/01/2016DC Une jolie brunette qui porte le prĂ©nom de Zoey-Lynn. © FACE CLAIM Sophia Bush ~ © Lieutenant de police et membre des renseignements Belmont agendaContact list DisponibilitĂ©s RP en cours Yassine, Jason, TC2, Elliott ♩ prĂ©vus LucrĂšce, Emrys...Sujet Re Winston Churchill a dit un jour Si vous traversez l’enfer, continuez d’avancer ! ». Jeu 28 Jan - 157 Un lien avec ma Kiara ça te tenterait ? _________________Kiara Riley Hudson Et quand on a beaucoup de chance, il se produit quelque chose qui n’arrive qu’une seule fois sur des millions ; la personne qu’on aime nous aime aussi... ~ ONE TREE HILL » Corey O'Malley LONG BEACH INHABITANTMESSAGES 15ARRIVAL 17/01/2016© FACE CLAIM Ian HardingSujet Re Winston Churchill a dit un jour Si vous traversez l’enfer, continuez d’avancer ! ». Jeu 28 Jan - 1114 Avec plaisir, une idĂ©e ma belle ? Kiara HudsonPretty and sexy admin MESSAGES 374ARRIVAL 17/01/2016DC Une jolie brunette qui porte le prĂ©nom de Zoey-Lynn. © FACE CLAIM Sophia Bush ~ © Lieutenant de police et membre des renseignements Belmont agendaContact list DisponibilitĂ©s RP en cours Yassine, Jason, TC2, Elliott ♩ prĂ©vus LucrĂšce, Emrys...Sujet Re Winston Churchill a dit un jour Si vous traversez l’enfer, continuez d’avancer ! ». Jeu 28 Jan - 1121 DĂ©jĂ , tu prĂ©fĂ©rerai du positif ou du nĂ©gatif avec Kiara ? Je pensais qu'on aurait pu les faire se rencontrer via leurs mĂ©tiers en commun, mais bon si ça continue comme ça, je vais avoir arrĂȘtĂ© tous les personnages du forum Sinon, ils peuvent aussi s'ĂȘtre rencontrĂ© quand tu promenais ton chien et moi le mien bon je ne l'ai pas citer dans ma fiche, mais elle en a un. Genre chacun sort son chien et ces deux-lĂ  foncent l'un sur l'autre, emmĂȘlant leurs laisses au passage... ou alors ton chien viendrait s'enrouler dans mes jambes avec sa laisse, aprĂšs que tu l'aies lĂąchĂ© sans faire exprĂšs, je ne sais pas _________________Kiara Riley Hudson Et quand on a beaucoup de chance, il se produit quelque chose qui n’arrive qu’une seule fois sur des millions ; la personne qu’on aime nous aime aussi... ~ ONE TREE HILL » Corey O'Malley LONG BEACH INHABITANTMESSAGES 15ARRIVAL 17/01/2016© FACE CLAIM Ian HardingSujet Re Winston Churchill a dit un jour Si vous traversez l’enfer, continuez d’avancer ! ». Jeu 28 Jan - 1147 Peut importe C'est quoi le rapport entre le mĂ©tier de pilote de course pro' et le job de lieutenant de police ? Si Kiara va se promener du cĂŽtĂ© de la plage pourquoi pas ^^ cette scĂšne me fait pensĂ© au 101 dalmatiens ^^ Kiara HudsonPretty and sexy admin MESSAGES 374ARRIVAL 17/01/2016DC Une jolie brunette qui porte le prĂ©nom de Zoey-Lynn. © FACE CLAIM Sophia Bush ~ © Lieutenant de police et membre des renseignements Belmont agendaContact list DisponibilitĂ©s RP en cours Yassine, Jason, TC2, Elliott ♩ prĂ©vus LucrĂšce, Emrys...Sujet Re Winston Churchill a dit un jour Si vous traversez l’enfer, continuez d’avancer ! ». Jeu 28 Jan - 1151 Ben disons que soit elle aurait pu intervenir pour une affaire sur ton lieu de travail mĂȘme si tu n'es pas forcĂ©ment impliquĂ© dans le truc ou alors elle aurait pu venir voir quelqu'un sur ton lieu de travail pour prendre des cours de conduite pas de conduite normal, de conduite style formule 1Je n'avais pas pensĂ© Ă  ce film lĂ  en faisant rĂ©fĂ©rence aux chiens et aux laisses qui s'emmĂȘlent _________________Kiara Riley Hudson Et quand on a beaucoup de chance, il se produit quelque chose qui n’arrive qu’une seule fois sur des millions ; la personne qu’on aime nous aime aussi... ~ ONE TREE HILL » Ernestine Depluit LONG BEACH INHABITANTMESSAGES 44ARRIVAL 24/01/2016© FACE CLAIM lily james, belispeakOCCUPATIONS toujours Ă  courir, jamais Ă  rester statique, mais elle veut devenir actricepersonal agendaContact list DisponibilitĂ©s RP toujours lĂ , toujours Re Winston Churchill a dit un jour Si vous traversez l’enfer, continuez d’avancer ! ». Jeu 28 Jan - 1518 Jveux bien un lien. Melanie Montgomery LONG BEACH INHABITANTMESSAGES 47ARRIVAL 24/01/2016© FACE CLAIM emma stoneOCCUPATIONS manager chez wallmartpersonal agendaContact list DisponibilitĂ©s RP availableSujet Re Winston Churchill a dit un jour Si vous traversez l’enfer, continuez d’avancer ! ». Jeu 28 Jan - 1844 Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Winston Churchill a dit un jour Si vous traversez l’enfer, continuez d’avancer ! ». Winston Churchill a dit un jour Si vous traversez l’enfer, continuez d’avancer ! ». Page 1 sur 1 Sujets similaires» Poussez-vous, excusez-moi ! Poussez-moi excusez-vous !Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumTHE MIGHTY JUNGLE / time flies ! - CHARACTER N. a person, an individual - WE CAN BE HEROES fiche de liensSauter vers
sivous traversez l'enfer continuez d'avancer explication. ნოემბერი 8, 2021; Posted by sac mĂ©lange bĂ©ton castorama; 08 ნოე
Gotte " Sans dire un mot, mets la cinquiĂšme, vois de gauche, pied sur le plancher, fais nous sentir le moteur ! " Posts Likes Archive toutcommenceparunbaiser Si vous traversez l'enfer, continuĂ© d'avancer . More you might like emo-globine-deactivated2019052 Nombreux sont ceux qui sĂ©duisentNombreux sont ceux qui dansent prĂšs de moiIls pourraient ĂȘtre les plus drĂŽlesTu sais que mes yeux ne suivent que toiAngĂšle - Nombreux la-belle-et-le-blues “J'ai appris que le courage n'Ă©tait pas l'absence de peur, mais le triomphe sur elle. Le brave homme n'est pas celui qui ne sent pas la peur, mais celui qui conquiert cette peur.” — Nelson Mandela putaindesarace Me tu m'aimes?Lui oui. Me combien?Lui 99% sur 10. motscapricieux-blog C'est grave kiffant les gens avec qui t'es naturel genre tu fais les pires tĂȘte ou parle de n'importe quoi on te trouves pas Le sexiez-vxus lorageeclate Parle moi de tes silences, de ce que tu n'as jamais dis Ă  personne. Montre moi des morceaux de ton Ăąme que personne n'a jamais vu avant, des bouts de toi que tu caches, des souvenirs que tu gardes tout au fond de toi, des secrets dont tu as honte, des endroits que tu es le seul Ă  connaitre. Parle moi de cette personne qui t'as blessĂ© au point que tu ne saches plus respirer, de celle qui t'as appris Ă  vivre, et de celle qui t'as appris Ă  aimer. Parle moi de ton premier amour, de ses yeux, de sa voix, de son rire. Raconte moi tes fous rires, tes larmes, tes cris, les cicatrices qui font que tu es qui tu es. Parle moi de ta chanson prĂ©fĂ©rĂ©e, de celle qui fait ressurgir de mauvais souvenirs, celle qui te motive et celle qui fait battre ton cƓur plus vite. Parle moi, dis moi tout sur toi, je veux tout savoir, je veux te connaĂźtre mieux que tout le monde, mieux que toi-mĂȘme. Sois avec moi la personne que tu es quand tu es seul dans ton lit le soir quand il n'y a personne pour te juger. la-belle-et-le-blues “Ce qu'elles ne savent pas, c'est qu'elles sont toutes le genre de fille dont les hommes tombent amoureux, elles tiennent toutes un cĂŽtĂ© appĂ©tissant qui donne Ă  la gente masculine, l'envie de les dĂ©couvrir chaque fois de plus en plus mais elles sont toutes diffĂ©rentes, chacune dĂ©tient un trĂ©sor qu'elles ignorent et mon dieu, que je trouve ça dommage lorsque je vois qu'elles se sentent mal dans leur peau, qu'elles ne s'assume des fois pas assez, se sentent stupide ou bien ridicule, que des mots qui ne leur colle pas, regardez-les, ces filles avec des cƓurs Ă©normes que tout le monde ne voit pas ou ne prĂ©fĂšrent pas voir, ces filles dotĂ©e d'un naturel potentiel d'ĂȘtre elle-mĂȘme et pas une autre. La beautĂ©, c'est vous et votre rĂ©el capacitĂ© Ă  donner de votre sincĂ©ritĂ©, l'homme qui ne tombera pas amoureux de vous aujourd'hui est un homme aveugle qui se fiche de vous et qui ne cherchera pas Ă  s'intĂ©resser mais l'homme qui tombera amoureux de vous demain sera dĂ©cernĂ© votre vraie personnalitĂ© et apprĂ©cier vos qualitĂ©s et vos dĂ©fauts, il saura vous donner autant que vous lui donnez ainsi, il ouvrira une faille Ă  travers votre esprit.” — via la-belle-et-le-blues Source la-belle-et-le-blues jamaismiens Tu sais le matin si je n’ai pas envie de me rĂ©veiller c’est pas par fatigue mais par manque de rĂȘve. jsais-pas-pourquoi-jsuis-ici Qu'est-ce que ça changerai si tu pouvais voir, ma plus sombre facette ? fissuredanslecoeur“T'es un gars exceptionnel, un gars au coeur en or qui pourrait dĂ©placer des montagnes pour la personne qu'il aime. T'es pas un gars de passage dans une vie, t'es le gars qui la marque Ă  vie.. Jsais pas si tu t'en rends compte. Je sais que je suis pas Ă  la hauteur face Ă  toi, un brouillon n'as pas la mĂȘme valeur qu'une oeuvre d'art malheureusement. Tu devrais croire ces filles qui te disent que t'as un putain de beau sourire parce que c'est vrai. J'espĂšre que tu te rendra compte de tout ça un jour, de toutes ces belles choses qui te dĂ©crivent.” — Un jour on m’a dis ça 
 sombreputance callmxcrxzy callmxcrxzy Et on s'dĂ©truit la santĂ© pour se sentir en vieOrelsan
\n \n \nsi vous traversez l enfer continuez d avancer
SurYCDM, seuls les Ă©lĂšves de Lungard (de 16 Ă  26 ans) et le personnel de l'Ă©cole (plus de 26 ans), sont jouables. Messages 39Univers Cyberpunk Leader d'une organisation terroriste » appelĂ©e Samurai. Johnny Silverhand - Relentless Rockerboy who never gives upSujet Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Sexy-Goro [ Mar 29 Mar - 1125 ]Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Takemura Goro Tu sais oĂč Ă©tait Johnny Silverhand quand la bombe de la tour Arasaka a explosĂ© ? Il Ă©tait un peu partout. »Vous savez c’qui me fait marrer avec ce monde Ă  la con ? Rien n’change jamais. J’peux naĂźtre en 1988, partager le corps d’un paumard en 2077 puis revenir Ă  la vie cinquante ans plus tard ce sera toujours le mĂȘme bordel. Comme si l’humanitĂ© Ă©tait pas capable de se sortir toute seule de sa piscine de merde. Elle nage dedans, boit la tasse et replonge parce qu’un connard en costard a Ă©crit sur un panneau publicitaire que c’était bon pour la parfaitement que j’parviendrais pas Ă  traĂźner tous ces cons lobotomisĂ©s hors du purin mais j’peux toujours faire cramer le panneau. Et le connard en costard. En espĂ©rant qu’un Ă©clair de luciditĂ© frappera la majoritĂ© des baigneurs quand ils seront libres de penser par eux-mĂȘmes. C’est ça, mon putain d’projet. Le seul truc qui me manque depuis ma nouvelle rĂ©surrection - ouais, j’suis un peu votre JĂ©sus des temps modernes, en toute modestie - c’est ma Porsche. Ok, on m’a filĂ© un corps tout neuf, bien pratique pour dĂ©rouiller des fils de putes, mais p’tain, c’est pas pareil sans l’bolide qui va avec. Johnny Silverhand en twingo du futur, ça a moins de gueule. Peut-ĂȘtre que j’pourrais en trouver une chez un collectionneur, quand j’aurais des thunes. Ou du bon matos de cambrioleur. Quand j’serai recherchĂ© pour d’autres crimes, le vol de voiture sera le cadet d’mes problĂšmes. Johnny, t’es sĂ»r que
— J’ai l’air d’un mec pas sĂ»r ? Tu peux rester dans la bagnole et te faire reluire le poireau si ça t’chante. Moi, j’y vais. — Mais c’est pas Night City ici, Mori Inc. c’est un autre calibre. Si tu commences Ă  faire pĂ©ter leurs entrepĂŽts, ils te lĂącheront pas avant de t’avoir descendu
 — Et tu connais un autre moyen d’faire chier dans leur froc tous ces connards de corpo ? — Bah non mais tu pourrais peut-ĂȘtre te lancer dans une rĂ©volution moins suicidaire ? Histoire de pas rĂ©pĂ©ter encore les mĂȘmes erreurs
 — J’t’emmerde. »J’rĂ©pĂšte pas les mĂȘmes erreurs. Cette fois, j’ai bien pris soin d’vĂ©rifier qu’aucun Smasher me tombera dessus. Enfin, en tout cas, j’ai regardĂ© vite fait les rondes des gardes et les plannings. Ok, j’ai rien matĂ© du tout, j’sais mĂȘme pas si cet entrepĂŽt est encore utilisĂ©. Comme si j’avais du temps Ă  perdre avec des plans bien rĂŽdĂ©s. J’suis Johnny Silverhand pas Sun Tzu. T’façon, c’est toute la diffĂ©rence entre moi et tous les ploucs que j’suis parvenu Ă  rassembler dans mon p’tit club de free fight anti-capitalisme ils ont le cerveau, mais pas les couilles. Ça sert Ă  rien. Faut savoir se salir les mains, et prendre le risque de recevoir une balle dans la tĂȘte. Sans ça, on est pas un rĂ©volutionnaire, on est un putain de charlatan. Le seul truc un peu sympa avec le futur-prĂ©sent d’merde qu’on se tape, c’est qu’on peut se procurer des engins explosifs Ă  chaque coin de rue. C’est aussi facile que d’baiser la grand-mĂšre veuve d’un pote Ă  un enterrement - pourquoi j’ai fait ça dĂ©jĂ  ? J’sors de la caisse, mon flingue dans mon froc, ma bombe sous le bras. On va enfin s’marrer - enfin non, j’me marre depuis mon retour, entre les concerts et les manifs, j’ai dĂ©jĂ  fait cramer plus de CRS qu’un pompier pyromane Ă  un bal de la police. Johnny ? J’ai dĂ©sactivĂ© les camĂ©ras de sĂ©curitĂ© et les alarmes, tu devrais pouvoir entrer sans problĂšme. Pose juste la bombe et casse-toi.— Content d’voir que t’es pas complĂštement inutile, Roberto. — J’m’appelle Pedro. — Y’a des gardes armĂ©s ? — Attends, tu le sais pas ? J’croyais que t’avais prĂ©parĂ© ça au poil de cul et que
 — Aaah, j’crois que j’passe sous un tunnel ! »Ces jeunes. Ils savent plus s’amuser. J’suis entrĂ© par la porte, parce que j’suis un connard et que j’en ai rien Ă  foutre. Y’a deux types qui discutent dans la salle de surveillance. Ils me tournent le dos et j’pense qu’ils vont ĂȘtre virĂ©s. Ou qu’ils seront morts, selon l’efficacitĂ© du p’tit bijou que j’vais dĂ©poser au pied du sapin de NoĂ«l. Mon flingue me dĂ©mange mais j’évite de tirer dans le tas, j’suis tout seul. On verra quand j’aurais montĂ© une Ă©quipe de cassos dĂ©chirĂ©s Ă  la synthĂ©coke. LĂ  on pourra causer Ă  coup de balles dans le crĂąne. J’entre dans un bureau qui m’a l’air bien placĂ©, Ă  peu prĂšs au centre de l’entrepĂŽt. J’assomme le garde et j’pose la bombe sur le bureau. J’arme le machin. Évidemment, si ces trucs sont faciles Ă  s’procurer, c’est parce qu’ils sont fabriquĂ©s par des aveugles manchots. Une fois le compte Ă  rebours lancĂ©, j’doute qu’on puisse l’arrĂȘter - en fait, j’doute mĂȘme qu’il attende la fin pour exploser, ou qu’il explose tout court. Ce sera la surprise - j’aime pas les surprises. Allez, 10 minutes, le temps de me tirer d’ici. Avec un peu d’chance, ça me fera juste roussir les poils de cul. J’m’allume une cigarette, prĂȘt Ă  m’casser vite fait par le chemin empruntĂ©, mais quand j’me tourne, un grand jap me fait face. — Bordel, j’te reconnais, t’es le connard de corpo qui faisait fantasmer V. Tu sais qu’il avait un poster de toi dans sa chambre ? Mais sans tes implants, j’ai failli pas te remettre. Goret ? Goro ? J’me souviens plus, pour moi vous avez tous la mĂȘme tronche
 Les corpo, pas les jap. Bon, c’est pas tout ça, mais on pourrait parler chiffon dehors ? J’aimerais mieux Ă©viter d’faire exploser mon nouveau corps aprĂšs deux mois d’utilisation. J’ai pas encore eu l’temps de tester le sexe sans pesanteur ! _________________SamuraĂŻ C'est pour ça qu'il ne faut pas ramener les guerriers morts au combat. TĂŽt ou tard, ils finissent toujours par se rendre compte qu'ils se sont battus pour rien. » DerniĂšre Ă©dition par Johnny Silverhand le Sam 2 Avr - 1634, Ă©ditĂ© 1 foisMessages 43Univers Cyberpunk 2077Organisation Mafia Portuaire Takemura Goro - BakenekoSujet Re Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Sexy-Goro [ Mar 29 Mar - 1359 ]Je n’ai pas l’habitude que l’on s’incline Ă  mon passage, et je crois que je ne m’y ferais jamais. Quand j’étais un simple garde du corps, on m’ignorait purement et simplement. A prĂ©sent
 Je suis le numĂ©ro 2. L’assurance que si le pire arrivait, la Mafia Portuaire aurait quelqu’un vers qui se tourner. Quelqu’un qui suivrait exactement la mĂȘme direction que Mori-sama. Je traverse l'entrepĂŽt, et les quelques employĂ©s prĂ©sents Ă©carquillent les yeux Ă  ma vue, et s’empressent de s’incliner comme si je pouvais les tuer pour ce manque de respect. Je pourrais, j’imagine. Mais je ne suis pas de ceux qui font couler le sang sans raison. Je me fiche des convenances, le respect ne vaut rien s’il ne tient qu’à de vulgaires courbettes. J’entre dans une piĂšce, au fond, oĂč deux hommes m’attendent. Ils posent une mallette chromĂ©e sur la table, et l’ouvrent sous mes yeux. A l’intĂ©rieur, une rĂ©plique parfaite de mon JKE-X2 Kenshin d’Arasaka
 Je prends dĂ©licatement l’arme entre mes mains l’équilibre est parfait, le bas de la crosse a Ă©tĂ© repeint en rouge, comme sur l’original. Je recharge l’arme, y fixe le silencieux, et je vois mes deux interlocuteurs sursauter avant mĂȘme que je ne tire deux balles dans l’un des mannequins de la rĂ©serve. Sa tĂȘte explose en une pluie de coton et de plastique.— L’ancien tirait un peu plus sur la gauche, mais je m’y accommoderai. La rĂ©plique est parfaite. Beau travail, range le pistolet Ă  ma ceinture, et leur jette le sac Ă  dos que j’avais apportĂ© pour l’occasion rempli de coupures de cent dollars. Ils les comptent, et l’accord est passĂ©. Nous nous quittons donc lĂ , et je monte rapidement dans la salle de surveillance voir si tout va bien, une simple vĂ©rification de routine, des restes de mon ancienne position de garde du corps
 Ils sursautent en me voyant entrer, et je hausse un sourcil.— Excusez-nous, Takemura-san, on ne vous a pas vu arriver
— Vous auriez pourtant dĂ», n’est-ce pas votre travail?— Si mais
 La camĂ©ra n’affichait rien.— Vous, allez dans le type de droite s’exĂ©cute, et en effet, la camĂ©ra continue d’afficher un couloir vide. Je les envoie donc faire le tour de l’entrepĂŽt, et en fait de mĂȘme, pistolet en main. Je traverse les grandes allĂ©es, des rayons de cartons de mĂ©dicaments de Mori Inc, faisant chacun plusieurs mĂštres de long. J’arrive au bureau qui se trouve au centre, et me retrouve face Ă  un grand brun se tenant debout au-dessus d’un des gardes inconscient au sol. Je le tiens en joue, et je m’apprĂȘte Ă  lui dire de lever les mains en l’air, quand il s’adresse Ă  moi comme Ă  un vieil ami de longue date. Je ne bouge pas, mon Kenshin toujours pointĂ© sur lui, mais ses paroles me rendent confus. Faire fantasmer V? Goret? Mais qui
Mon scanner indique quelques donnĂ©es, et je suis persuadĂ© que le nom qui s’affiche n’est pas le sien. Je me souviens rapidement de mes derniers Ă©changes avec V, et d’avoir appris les dĂ©tails sur le construct qui le tuait Ă  petit feu. L’engramme d’un terroriste ayant fait sauter une tour Arasaka, comment s’appelait-il dĂ©jà
? Se pourrait-il qu’il s’agisse de lui? Je pensais qu’Arasaka avait supprimĂ© son engramme de la base de donnĂ©es de Mikoshi. Il faut croire que non.— 
. Silverhand. Celui que l’on a retirĂ© de la tĂȘte de percute au sujet de la bombe, et repĂšre un petit appareil sur la table. Mon scan m’indique peu de choses, puisqu’il s’agit d’un explosif artisanal. Cet imbĂ©cile agit comme si nous avions du temps devant nous, alors que ce truc est aussi instable que la situation entre les gangs dans les rues de Tokyo. Je l’attrape par le poignet, et l’entraine Ă  ma suite hors du bureau. Nous avons Ă  peine le temps de traverser une allĂ©e et de nous engouffrer dans un couloir que la bombe explose, et que le souffle nous propulse en avant. Mes oreilles sifflent, ma vision est Ă©blouie par beaucoup trop de lumiĂšre. Je suis couvert de boĂźtes d’antibiotiques et de morceaux de carton. Je me redresse, une main sur le front comme si cela pouvait chasser la migraine, et dĂ©couvre ce qu’il reste de l’entrepĂŽt. La bombe a complĂštement soufflĂ© la plus grande partie de la bĂątisse, celle oĂč Ă©taient stockĂ©s des milliers de mĂ©dicaments synthĂ©tisĂ©s par Mori Corp. Des millions de dollars partis en fumĂ©e. J’entends quelque chose bouger Ă  cĂŽtĂ© de moi, j’enlĂšve la sĂ©curitĂ© de mon arme, et en colle le canon sur sa tempe.— Pourquoi tu as fait ça? Ces mĂ©dicaments devaient ĂȘtre livrĂ©s aux hĂŽpitaux de la ville dans les prochains jours. Tu sais combien de vies tu viens de condamner? KUSO!Des sirĂšnes retentissent au loin, et je n’ai aucune envie d’ĂȘtre ici lorsque la Police arrivera. Je me relĂšve, attrape Silverhand, et le traĂźne hors des dĂ©combres et de ce qu’il reste de l'entrepĂŽt pour le traĂźner jusqu’à ma voiture, dont la carrosserie n’est pas indemne suite Ă  l’explosion non loin de lĂ . J’allais le jeter sur la banquette arriĂšre, mais je me retrouve encerclĂ© par trois hommes qui ne sont pas de Mori Corp et m’ordonnent de lĂącher mon arme. Je suis obligĂ© de m’executer, et de lever les mains en l’air, foudroyant du regard cet imbĂ©cile qui avait failli se tuer en voulant jouer avec des explosifs. Quand l’un de ses hommes s’approche de moi, je lui donne un coup dans les cĂŽtes et le pousse contre ma voiture pour l’assommer, puis tout devient noir quand son camarade me frappe derriĂšre la tĂȘte. DerniĂšre Ă©dition par Takemura Goro le Sam 2 Avr - 2254, Ă©ditĂ© 1 foisMessages 39Univers Cyberpunk Leader d'une organisation terroriste » appelĂ©e Samurai. Johnny Silverhand - Relentless Rockerboy who never gives upSujet Re Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Sexy-Goro [ Mar 29 Mar - 1732 ]Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Takemura Goro Tu sais oĂč Ă©tait Johnny Silverhand quand la bombe de la tour Arasaka a explosĂ© ? Il Ă©tait un peu partout. »AH ! Il se souvient d’moi ! Faut dire que j’suis sacrĂ©ment inoubliable. Johnny Silverhand, la putain de lĂ©gende du Rock ! Bizarrement, il a pas l’air trĂšs content de me revoir. Faut dire que c’est la premiĂšre fois qu’il me voit vraiment. J’imagine que ça fait toujours un choc la premiĂšre fois avec moi. Mais pas l’temps de me complimenter qu’il me traĂźne Ă  l’extĂ©rieur comme si cette bombe allait dĂ©jĂ  
 EXPLOSER. — Le putain de paumard qui m’a vendu cette merde va entendre parler d’mon flingue ! HĂ©, tu vas froisser ma chemise, ok, elle est dĂ©jĂ  froissĂ©e, mais tu sais que ça s’travaille un look pareil, c’est pas
 Et on est propulsĂ© par le souffle de l’explosion. J’ai Ă  peine le temps de mettre mes bras pour Ă©viter d’m’éclater la tronche sur le sol. Ahah ! Quelle journĂ©e ! C’est Ă  ça qu’on reconnait les bonnes ! Quand on sent l’air chaud d’une bombe artisanale sur sa nuque ! Bon, mon pote Goro-corpo a l’air de moins prendre son pied que moi, mais j’dĂ©sespĂšre pas. Doit bien y avoir un truc qui finira par exciter ce p’tit polisson polissĂ© par des annĂ©es d’servitude. Alors que j’me relĂšve aprĂšs lui, j’constate que l’endroit a bien brĂ»lĂ©. Et ça m’provoque une demi-molle. Qui disparaĂźt trĂšs vite parce que Goro est un putain d’rabat-joie. J’avais oubliĂ© c’dĂ©tail le concernant. Il m’flanque un flingue sur la tempe et ça c’est comme au bon vieux temps. C’est vrai que maintenant qu’il le dit, ça ressemble Ă  des boĂźtes de mĂ©docs. Comment j’aurais pu savoir que Mori Inc. entreposait des mĂ©docs ? - en demandant Ă  mes rookies d’faire des recherches plus poussĂ©es avant d’acheter une bombe, ouais. Si j’rĂ©flĂ©chissais avant d’agir, j’serais pas le Leader d’un groupe terroriste, j’serais commercial dans une concess’ auto. — J’sais pas dans quel monde tu vis, m’sieur le bisounours, mais si ces mĂ©docs Ă  la con ont Ă©tĂ© conçus pour sauver des vies, j’veux bien m’couper une couille. Avec ça, on maintient ton cerveau en Ă©tat d’marche juste assez pour que tu sois encore capable d’en acheter d’autres, pas pour t’guĂ©rir. Mais pas l’temps pour les dĂ©bats politico-merdiques visiblement. Il m’entraĂźne hors des dĂ©combres vers sa voiture. Sauf que j’suis pas venu complĂštement tout seul non plus, j’suis pas con. Il est bien gentil le toutou des corpos mais il me sous-estime un peu. Il s’dĂ©bat, mais ils sont trois. Plus moi. MĂȘme si j’ai pas hyper envie d’me battre contre Goro par respect pour V et ses rĂȘves Ă©rotiques chelou. Putain mais c’est qui lui ? — Un vieux copain. — T’es sĂ»r ? Il te tenait pas en joue lĂ  ? — À mon Ă©poque, on pouvait sortir un flingue et tirer dans une salle de concert pleine Ă  craquer sans que personne n’trouve ça menaçant. C’est une façon d’se dire bonjour. Vous devriez retirer le balai que vous avez dans l’cul, pour laisser quelques rayons d’fantaisies vous pĂ©nĂ©trer. — HĂ©, on est de ton cĂŽtĂ©, alors pourquoi t’es aussi con ? — Parce que vous m’emmerdez. Cassez-vous. J’vous appellerais si besoin. — T’es sĂ»r que tu vas te dĂ©brouiller avec lui ? — J’te jure que si tu me redemandes encore une fois si j’suis sĂ»r de quelque chose, j’te dĂ©fonce la gueule.— C’est bon, on s’tire. Faudra pas venir pleurer si tu te fais tuer ou emprisonner Ă  Mikoshi pour la troisiĂšme fois. »J’leur fais des doigts d’honneur. C’est beau l’amitiĂ© putain - j’dĂ©conne, j’en sais rien, Ă  part Kerry et V, personne m’a jamais supportĂ© plus d’une heure, mĂȘme moi j’suis pas sĂ»r de pouvoir le faire, c’pas pour rien que j’bois comme un trou et que j’consomme des drogues pour chevaux. J’traĂźne Goro sur la banquette arriĂšre. J’fouille ses poches pour rĂ©cupĂ©rer la clĂ© Ă©lectronique mes couilles. On va faire une balade mon pote. J’dĂ©marre. J’roule comme un connard mais le coup de crosse de Francky a Ă©tĂ© violent. Mon corpo prĂ©fĂ©rĂ© s’rĂ©veille pas. J’m’arrĂȘte dans un motel miteux. Du genre de ceux qui ont Ă©tĂ© construits pour les dĂ©chets et les terroristes. J’sors Goro de la voiture et j’l’emmĂšne jusque dans ma chambre. J’le menotte au lit - parce que c’est marrant. Au moins ici, on s’ra tranquille pour discuter. Ou pour jouer Ă  touche-pipi. Si on n’a pas peur de choper des morpions sur ces draps dĂ©gueulasses. J’m’allume une clope. Il met des plombes Ă  reprendre ses esprits. Le soleil pointe le bout d’un rayon. J’reviens dans la chambre avec deux cafĂ©s. J’aurais dĂ» le dĂ©saper pour que ce soit plus rĂ©aliste. Mais j’touche pas Ă  ces connards de corpo. J’pose sa boisson Ă  cĂŽtĂ© d’lui - mais il peut pas l’attraper, ses deux mains sont attachĂ©es Ă  la tĂȘte du lit, c’est d’la torture psychologique - et j’me rallume une clope putain. Qu’est-ce que j’vais bien pouvoir faire de lui maintenant ? — T’es pas aussi bon en vrai que dans les fantasmes de V, mon vieux. Ah putain, j’dĂ©conne. DĂ©ride-toi un peu, on dirait un shar pei en obĂ©sitĂ© morbide. Bon, pour te la faire courte, t’es un peu dans la merde, parce que t’es mon prisonnier. J’sors son flingue, celui qu’il a utilisĂ© contre ma tempe, et j’m’assois sur une chaise tachĂ©e de
 J’ai pas envie d’savoir quoi, prĂšs du lit. — J’ai pensĂ© Ă  t’faire subir toute sorte de torture marrante mais j’suis pas un enculĂ© comme Saburo Arasaka. Et V t’aimait bien. J’suppose que t’es devenu le chien prĂ©fĂ©rĂ© de Mori Inc. ? C’est fou ça, dĂšs que tu te dĂ©barrasses d’une laisse, faut que t’en trouves une autre. Ça me dĂ©passe. Pourtant t’as vu c’que ces cons sont capables de faire dĂšs qu’ils t’ont dans le collimateur. Alors pourquoi tu continues d’croire en leur merde ? T’es masochiste ? T’aimes qu’on te chie dans la bouche et qu’on t’ordonne d’avaler ? J’lui lance la clĂ© des menottes, mais j’le garde en joue. J’aurais pu rĂ©clamer une rançon. Le buter direct et envoyer sa tĂȘte Ă  l’un des cerveaux de Mori Inc. mais bordel, j’suis pas comme ça. Prendre des otages, c’est un truc de tocard avide de fric et le fric ça a jamais Ă©tĂ© ma prioritĂ©. — Qu’est-ce que tu m’aurais fait si mes amis Ă©taient pas intervenus tout Ă  l’heure ? Tu m’aurais traĂźnĂ© d’vant ton chef ? AprĂšs toutes les aventures qu’on a traversĂ©es ensemble, ok, tu m’as jamais vraiment vu, mais ça m’brise le cƓur, Goro. J’tire une taffe et j’bois une gorgĂ©e de cafĂ©. Il est dĂ©gueulasse. On dirait du goudron. Du cafĂ© de looser. Mon prĂ©fĂ©rĂ©. — Le problĂšme, c’est que j’vais recommencer. Et que je t’ai vu Ă  l'Ɠuvre. J’suis pas certain d’te vouloir dans mes pattes. Tu ferais quoi Ă  ma place ? Tu te descendrais ? _________________SamuraĂŻ C'est pour ça qu'il ne faut pas ramener les guerriers morts au combat. TĂŽt ou tard, ils finissent toujours par se rendre compte qu'ils se sont battus pour rien. » Messages 43Univers Cyberpunk 2077Organisation Mafia Portuaire Takemura Goro - BakenekoSujet Re Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Sexy-Goro [ Mar 29 Mar - 2026 ]L’odeur du tabac et du cafĂ© sont les premiĂšres choses qui m’accueillent alors que je reprends conscience. Jusque lĂ , rien d’alarmant, ou d’inhabituel
 Je tente de me relever, mais quelque chose de froid vient entailler mes poignets et les maintenir en place, au-dessus de ma tĂȘte. L’adrenaline se rĂ©pend soudain dans mes veines en un Ă©clair, et me rĂ©veille en une seconde. J’ouvre les yeux, et tente de tirer sur les menottes rien Ă  faire. Puis mon regard se porte sur le type en face, et tout me revient en Je t’interdis de parler d’Arasaka-sama de la sorte! Tu ne sais rien de lui. Tu-Il me jette les clefs des menottes, et je les attrape de justesse. Je me contente de le regarder avec dĂ©sapprobation, et me dĂ©brouille pour me libĂ©rer, le fameux cliquetis tant attendu ne retentissant pas avant de longues secondes. Je me redresse lentement, en remuant doucement mes poignets pour les dĂ©sengourdir. Puis je repose mon regard sur ce Silverhand. Je n’apprĂ©cie pas trop de voir mon arme entre ses mains.— Cesse de me parler de V, tu ne fais que frapper Ă  Nagasaki un ennemi d'Edo. V m’a aidĂ© parce qu’il faisait partie d’une Corpo, autrefois, et qu’il comprenait mes motivations. Pas parce qu’il avait des sentiments pour moi. C’est la tasse de cafĂ© sur la tasse de chevet, simplement pour passer mes mains autour du gobelet chaud. Qui sait ce que ce terroriste aurait pu mettre dedans? Je ne suis pas idiot. Je l’écoute me parler encore de ce que l’on a vĂ©cu ensemble, et je me demande s’il avait rĂ©ellement conscience de tout ce que faisait et disait V. Je n’aime pas l’idĂ©e qu’il sache ces dĂ©tails sur mon enfance, que j’avais confiĂ© Ă  un ami, et pas Ă  lui. Je m’étais ouvert Ă  V parce que nous allions nous lancer dans une mission risquĂ©e, et que c’était peut ĂȘtre la derniĂšre fois que nous nous parlions. AprĂšs tout ce que nous avions accompli ensemble, c’était une façon de le remercier, et de lui prouver qu’il avait ma confiance. — Je comptais simplement te poser quelques questions. Mikoshi Ă©tait censĂ© t’avoir supprimĂ©, mais si ce n’est pas le cas
 Alors, peut-ĂȘtre que V a pu revenir lui aussi. Ca faisait beaucoup d’interrogations, et peu de temps avant que la police n’arrive. Je n’enfonce pas de portes ouvertes en prĂ©cisant que je lui aurais fait payer pour l’explosion. Ca coule de source.— Tu t’attends Ă  ce que je sois honnĂȘte? Ou Ă  ce que je te supplie de me laisser vivre? Bien sĂ»r que je me descendrai. La vraie question c’est plutĂŽt pourquoi tu ne m’as pas encore descendu? Si tu me connais aussi bien que V, tu sais que je ne donnerai aucune information sur Mori Inc, mĂȘme sous torture. Et que je compte bien t’empĂȘcher de t’en prendre Ă  leurs autres l’observe, depuis tout Ă  l’heure, et je suis intriguĂ© par sa ressemblance avec V
 Et je parle surtout de sa maniĂšre de se tenir, et de ces petits gestes inconscients. V ne parlait pas comme un vulgaire camionneur en ponctuant chacune de ses phrases par une insulte. Mais il s’asseyait ainsi, face au dossier des chaises. Et il tapotait sa tasse de cafĂ© avec l’index, de la mĂȘme maniĂšre. Ce sont de ridicules dĂ©tails, mais observer et cerner les gens fait partie de mon travail depuis toujours. — V Ă©tait dĂ©boussolĂ© quand on lui a retirĂ© ton construct. Je l’ai revu
 Les dĂ©gĂąts Ă©taient irrĂ©versibles. Son corps le considĂ©rait comme un Ă©tranger et le rejetait. Tu avais dĂ©jĂ  trop pris le dessus, et ils ne pouvaient plus rien faire. Je lui ai proposĂ© qu’on sauvegarde son Ăąme sur un engramme, mais il a ne sais pas pourquoi je lui donne ces dĂ©tails. Peut ĂȘtre pour que l’on passe Ă  un autre sujet que V. Peut ĂȘtre parce que je voulais qu’il le sache, avant de me descendre. En tout cas, l’information semble le perturber une seconde, et je tente ma chance. Je me jette sur lui pour lui prendre mon arme. Un coup part vers le plafond, une chance qu’il ait laissĂ© le silencieux vissĂ© au canon. DerniĂšre Ă©dition par Takemura Goro le Sam 2 Avr - 2255, Ă©ditĂ© 1 foisMessages 39Univers Cyberpunk Leader d'une organisation terroriste » appelĂ©e Samurai. Johnny Silverhand - Relentless Rockerboy who never gives upSujet Re Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Sexy-Goro [ Mer 30 Mar - 1002 ]Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Takemura Goro Tu sais oĂč Ă©tait Johnny Silverhand quand la bombe de la tour Arasaka a explosĂ© ? Il Ă©tait un peu partout. »Et voilĂ  qu’il se vexe. Un vrai bout-en-train c’gars-lĂ . Il mord dĂšs qu’on critique son sacro-saint ex-patron dĂ©cĂ©dĂ© - mais est-ce qu’il remue la queue quand on lui donne un su-sucre ? J’devrais arrĂȘter les sous-entendus. MĂȘme dans ma tĂȘte, j’trouve ça dĂ©gueu. C’est comme assister Ă  une partie de jambes en l’air entre V et Kerry c’est malsain. Non pas qu’j’sois homophobe ou quoi, juste qu’avoir le goĂ»t de la teub de mon meilleur pote dans la bouche alors que j’avais rien demandĂ©, c’est une sensation que j’souhaite Ă  personne - parce que ouais, y’a plein de trucs que V faisait que j’sentais aussi, et ça, ça fait partie des pires expĂ©riences. Nagasa-quoi ? Ah putain, il est trop naĂŻf ce Goro. C’est pour ça que V l’aimait bien. Comme si des corpos pouvaient s’entraider. On parle de mecs qui vendraient leur mĂšre pour un bureau en haut d’une tour, la coopĂ©ration, ils connaissent pas. V Ă©tait une exception. Et j’peux assurer qu’il trouvait ce jap Ă  son goĂ»t, j’ai vu des fanarts sur son tĂ©lĂ©phone. Mais bon, j’vais laisser croire Ă  Takemura que c’est la fameuse solidaritĂ© corpo qui a sauvĂ© son joli p’tit cul d’Arasaka. Je rĂȘve. J’finis mon cafĂ©. Goro, c’est le genre de type qui croit toujours tout c’qu’on lui dit. Par on j’veux dire les corpos. Non si moi j’lui dis que ma merde c’est d’la mousse au chocolat et que j’essaie d’lui en faire bouffer, y’a peu de chance qu’il le fasse, mais si c’est son grand chef adorĂ©, lĂ , il va s’foutre Ă  quatre pattes et laper tout le contenu de sa gamelle; Vous en faites pas, on va dĂ©truire Johnny Silverhand. ». Bah ouais. Et mon cul, c’est un putain d’ananas rĂŽti au miel. Mais non, ils ont racontĂ© ça pour rassurer la galerie. Ils ont rĂ©cupĂ©rĂ© l’engramme de ce’bon vieux Johnny et ils l’ont refoutu Ă  Mikoshi comme des enculĂ©s. Mais j’suis ravi d’ĂȘtre leur sujet d’expĂ©rience prĂ©fĂ©rĂ© hein. Non puis la prison des Ăąmes, on s’y habitue Ă  force - c’est faux. — Comme tu peux l’voir, mon vieux, ils m’ont pas supprimĂ© et j’te parie tout c’que tu veux que y’a l’engramme de V quelque part Ă  Mikoshi. Tu sais pourquoi ? Parce qu’on peut pas faire confiance Ă  des connards de corpo et ça, j’ai pas arrĂȘtĂ© d’le dire Ă  V mais il m’écoutait jamais. J’souris. Ouais, j’aurais bien aimĂ© qu’il me supplie, mais j’sais que c’est pas dans le caractĂšre du bonhomme. Et j’sais aussi qu’il balancera rien. C’est bien lĂ  mon souci. Une connerie d’loyautĂ© m’empĂȘche de faire la peau Ă  ce con mais l’occasion est trop belle, merde. Oh. VoilĂ  des infos inĂ©dites. Putain, ça c’est mon champion ! V Ă©tait pas complĂštement une cause perdue ! Il a pas vendu son Ăąme Ă  une corpo et ça, c’est la preuve que le Johnny Silverhand dans sa tĂȘte avait bien laissĂ© son empreinte ! Ah putain, qu’est-ce qu’il me manque
 Mais j’hallucine. Il m’a sautĂ© dessus et il s’retrouve sur moi, j’ai un flashback d’un rĂȘve Ă  la con de V - en fait, il me manque pas tant que ça
 J’suis pas sĂ»r de faire le poids au corps Ă  corps, quoique
 Il a plus ses implants. Et j’ai toujours un joli bras chromĂ© ! J’essaie d’garder le flingue hors de portĂ©e et d’le repousser de ma main mĂ©tallique. J'l'intĂ©resse mĂȘme pas, c’est le gun qu’il veut. Il vaut si cher que ça ? Tain si j’avais su que ça l’exciterait autant, j’aurais sorti l’mien chance est d’mon cĂŽtĂ©, j’le tiens Ă  distance, j’ramĂšne l’arme vers lui et j’lui tire dans l’épaule. Il pousse un grognement et me lĂąche aussitĂŽt. Merde. J’avais mĂȘme pas prĂ©vu d’faire ça - j’avais pas prĂ©vu grand chose. Pourquoi faut toujours que ça dĂ©rape ? — Tu sais, quand j’te laisse enlever tes menottes, c’est pas pour que tu m’sautes dessus Ă  la premiĂšre occas’, mĂȘme si j’comprends que mon charme naturel opĂšre sur toi aussi, j’suis pas de ce bord-lĂ . Et voilĂ , maintenant tu pisses le sang. C’est typiquement corpo ça. On vous donne un doigt, vous nous bouffez l’bras. Tu mĂ©riterais que j’te descende. Mais je n’vais pas le faire parce que
 Parce que j’suis con et que moi j’ai un putain de sens de l’honneur. J’coince son arme dans mon pantalon. — J’vais pas le faire par respect pour V. Et j’suis trop gentil, parce que j’sais que toi, t’aurais pas hĂ©sitĂ©. Mais j’vais garder ton flingue. Comme ça, on est quitte, ducon. Des sirĂšnes de police. Les lumiĂšres bleues clignotent derriĂšre les rideaux. Merde. Quoique ça me dĂ©foulerait de tirer sur des reprĂ©sentants de la loi. Cette fois j’attrape MON Malorian. J’me fous contre le mur Ă  cĂŽtĂ© d’la porte. J’lĂąche pas trop longtemps Goro des yeux, on sait jamais avec ces corpos. Il pourrait sortir un couteau d’son cul et me le planter dans le dos. J’suis tout excitĂ©. Comme une gamine sexy Ă  son premier bal de promo parce qu’elle sait qu’elle va s’faire prendre en gang bang par l’équipe de foot du lycĂ©e. NCPD. OUVREZ. — J’viendrai pas Ă  votre bal de la police, pas la peine d’insister, m’sieur l’agent. — Ouvrez cette putain de porte ! — J’prĂ©fĂ©rerai autant qu’elle reste fermĂ©e, un corpo haut placĂ© est en train d’me tailler une pipe et ça craindrait pour son image, vous comprenez ?— DĂ©foncez-moi cette merde. »C’qui est marrant avec les motels moisis, c’est que les portes sont faites en papier mĂąchĂ©. Non seulement, on entend tout, mais en plus
 On peut tirer Ă  travers et ĂȘtre sĂ»r que ça touchera la personne de l’autre cĂŽtĂ©. Putain. C’est l’futur mais chez les pauvres, c’est toujours craignos as fuck. Deux balles atteignent le flic de l’autre cĂŽtĂ©. Il s’effondre dans un gargouilli et c’est parti pour la baston. Entre nous, c’est une sacrĂ©e idĂ©e d’merde mais j’ai l’impression d’avoir de nouveau vingt-cinq ans. Les flics se replient et s’mettent Ă  fusiller la chambre. J’m’allonge et j’tire Goro dans la salle de bain. Y’a une fenĂȘtre par laquelle on devrait pouvoir passer. Ces cons d’poulet s’y attendaient pas, on devrait avoir deux minutes. — Alors, j’vais te dire mon p’tit connard de corpo. T’as rien sur toi qui atteste de ton identitĂ© et t’as pris une balle. De loin, tu ressemblerais Ă  un suspect potentiel - et de prĂšs aussi, quand j’leur dirais que c’est grĂące Ă  toi que j’ai pu entrer dans l’entrepĂŽt. Alors on va gentiment s’entraider pour se barrer, ça roule ? _________________SamuraĂŻ C'est pour ça qu'il ne faut pas ramener les guerriers morts au combat. TĂŽt ou tard, ils finissent toujours par se rendre compte qu'ils se sont battus pour rien. » Messages 43Univers Cyberpunk 2077Organisation Mafia Portuaire Takemura Goro - BakenekoSujet Re Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Sexy-Goro [ Jeu 31 Mar - 1133 ]Le coup part, et me fait dĂ©finitivement perdre l’affrontement. Je ne sais pas trop ce que j'espĂ©rais, son bras chromĂ© lui donnait l’avantage. De toute façon il aurait tirĂ©, mĂȘme si je n’avais rien tentĂ©. Avec une simple balle dans l’épaule, j’avais toujours une chance de m’en sortir, sauf s’il me descendait dans la seconde. Dans ce cas-lĂ , la Trauma Team n’aurait qu’à ramener mon cadavre Ă  Mori-sama. Je viens de recevoir la notification, elle est dĂ©jĂ  en route. J’ignore pourquoi il hĂ©site. Par respect pour V, vraiment
? Je me redresse mollement, m’adosse au mur, assis par terre, et plaque ma main sur la blessure pour limiter l’hĂ©morragie. Je crois que le destin essaie de me faire comprendre qu’il est temps de tourner la page Ă  propos d’Arasaka, et que faire faire une rĂ©plique de mon ancienne arme de service Ă©tait une mauvaise idĂ©e. J’essaie de rĂ©flĂ©chir aux options qui s’offrent Ă  moi, vu la situation catastrophique dans laquelle je me retrouve, mais Johnny les rĂ©duit toutes Ă  nĂ©ant alors qu’il descend l’agent de police derriĂšre la porte. J’allais le traiter d’imbĂ©cile dans ma langue maternelle, mais il me traĂźne jusqu’à la salle de bain, et la douleur me fait taire. Je le vois essayer d’ouvrir la fenĂȘtre qui s’y trouve, comme si c’était une idĂ©e rĂ©volutionnaire.— La Trauma-Team est en route, elle sera lĂ  d’ici cinq minutes. Un scan suffit pour attester de mon identitĂ© et de mon appartenance Ă  Mori Inc. Selon toi, qui croirons t-ils, si je raconte que tu m’as kidnappĂ© et retenu en otage? Tu m’as tirĂ© dessus, comme tu as tirĂ© sur cet grimace de douleur alors que je prends appui sur la baignoire pour me relever. C’est donc de Silverhand que V tenait son impulsivitĂ©? Ou Ă©tait-ce simplement un trait qu’ils partageaient? Je ne comprendrais jamais ceux qui agissent avant de rĂ©flĂ©chir. Quelle perte de temps. Il n’empĂȘche
 Que dans les derniers temps, V n’arrĂȘtait pas de parler de Johnny. J’ai lu les rapports des examens mĂ©dicaux, et psychiatriques, suite au retrait de l’implant. C’est Ă  cause du refus de V de continuer Ă  coopĂ©rer qu’Arasaka m’a fait venir Ă  son chevet
 J’ai toujours une dette envers lui. Il m’a sauvĂ©, quand ils sont venus rĂ©cupĂ©rer Hanako-sama dans cet hĂŽtel miteux. Sans lui, je ne serais sans doute pas lĂ  aujourd’hui
 Je n’ai pas pu lui rendre la pareille, puisqu’il a refusĂ© d’ĂȘtre sauvegardĂ© en tant qu’engramme. Je pose mon regard sur Silverhand. Je ne comprends toujours pas pourquoi il ne me tire pas une balle dans la tĂȘte. Il secoue son pistolet en rĂąlant. V faisait la mĂȘme chose, lorsqu’il Ă©tait sur les nerfs. — 
 Fuis. Moi, je m’en m’observe, comme si j’étais en train de dĂ©lirer. Je dois avouer que mĂȘme moi, je me surprends Ă  le laisser filer. Il a fait sauter un entrepĂŽt de Mori Inc. J’aurais dĂ» le jeter Ă  l’arriĂšre de ma voiture, l’emmener dans un endroit isolĂ©, et me dĂ©brouiller pour le faire parler Ă  propos de ses intentions, des moyens qu’il a Ă  sa disposition pour Ă©viter que ça ne se reproduise. Mais je n’en avais clairement pas le temps, dans l’immĂ©diat. Et j’étais clairement influencĂ© par sa ressemblance avec V. Je n’aurais jamais cru qu’un jour, mon sens de l’honneur n’irait pas dans le sens des Corpos. Cela rend la situation
 DĂ©licate.— Demain soufflera le vent de demain. Fuis. Nous nous reverrons sans compte bien le traquer une fois que je me serais expliquĂ© au sujet de l'entrepĂŽt, de la balle que je me suis prise, et du flic dĂ©cĂ©dĂ© sous mes yeux sans que je ne puisse rien y faire. Il me fixe encore quelques secondes, puis se hisse Ă  l’extĂ©rieur par la fenĂȘtre de la salle de bain. Dans la minute qui suit, des pas rĂ©sonnent dans le couloir du motel, les renforts de Police arrivent, et la Trauma Team me tire de lĂ  en - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 
 au Motel de Sesame Street, oĂč le RGC de Mori Inc a Ă©tĂ© retenu en otage il y a quelques jours
 »Je soupire, et Ă©teins la radio de ma voiture. Cette histoire m’aura vraiment causĂ© du tort. J’ai dĂ» m’excuser auprĂšs de Mori-sama en personne pour mon incompĂ©tence - certes, ils Ă©taient Ă  plusieurs contre moi, mais ce n’est pas une raison - et pour la perte d’un entrepĂŽt - lĂ  aussi, ma visite n’était pas prĂ©vue au dĂ©part, mais
 Ha, une mauvaise journĂ©e. Je gare ma voiture dans le parking sous-terrain, puis prend l’ascenseur pour rejoindre mon appartement. Je pose mes affaires sur la table, verrouille la porte, et file dans la salle de bain. La balle que je me suis prise a laissĂ© une lĂ©gĂšre cicatrice la Trauma Team fait des miracles, de nos jours. Je pose mon pistolet sur le rebord de l’évier, et je m’oublie sous la une mĂ©lodie jouĂ©e sur une guitare Ă©lectrique qui me tire de mes pensĂ©es. Au dĂ©but, je n’en suis pas sĂ»r. Je coupe l’eau, et le son est bien net je suis le seul Ă  cet Ă©tage - le dernier, au sommet de l’immeuble - alors l’hypothĂšse des voisins Ă©tait impossible. J’enfile un peignoir, attrape mon arme, et longe les murs en rejoignant discrĂštement mon salon
 OĂč je trouve Silverhand en train de jouer de la guitare, comme si c’était tout Ă  fait normal. — Comment es tu entrĂ© ici?Je sens que je vais encore devoir expliquer une situation incroyable oĂč un seul homme est venu Ă  bout de mon Ă©quipe de sĂ©curitĂ©. Je sens la migraine arriver. Je haie les mĂ©dias. DerniĂšre Ă©dition par Takemura Goro le Sam 2 Avr - 2255, Ă©ditĂ© 1 foisMessages 39Univers Cyberpunk Leader d'une organisation terroriste » appelĂ©e Samurai. Johnny Silverhand - Relentless Rockerboy who never gives upSujet Re Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Sexy-Goro [ Ven 1 Avr - 129 ]Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Takemura Goro Tu sais oĂč Ă©tait Johnny Silverhand quand la bombe de la tour Arasaka a explosĂ© ? Il Ă©tait un peu partout. »Ah, j’avais oubliĂ© ces conneries de trucs de riches. J’suis pas assez concernĂ©. Moi quand j’me prends une balle, bah j’souffre et j’me traĂźne chez un charcudoc. Personne vient m’chercher en limousine volante. Putains de privilĂ©giĂ©s de merde. J’m’énerve encore plus de pas lui avoir foutu une balle dans la tĂȘte. J’suis trop sentimental. Ou V est trop sentimental. J’sais plus. Y’a trop de lui dans ma tĂȘte. Merde, du coup, je fais quoi ? Mon estropiĂ© avec sa mutuelle de corpo est plus encombrant qu’autre chose. Et putain, plutĂŽt m’tirer une balle moi-mĂȘme que me retrouver ENCORE Ă  Mikoshi. J’m’apprĂȘte Ă  lui rĂ©pondre un truc, mais il me sort de me barrer. HĂ©, c’est pas lui qui dĂ©cide. J’ai toujours les deux flingues et lui un trou d’balle
 Mais, ces mots doivent lui coĂ»ter. En tant que bon toutou fidĂšle, il doit pas souvent laisser Ă©chapper une proie, nan ? J’devrais me sentir honorĂ© ? Ah ! Ce serait le comble. Putain. Y’a rien qui s’passe comme prĂ©vu dans cette histoire - ouais j’avais rien prĂ©vu mais l’idĂ©e gĂ©nĂ©rale que j’me faisais de cet attentat, c’était pas ça. J’me voyais bien faire pĂ©ter cet entrepĂŽt, et finir dans un bar, deux jolies filles pendues Ă  mes bras, avec une tequila old fashioned au piment. On est super loin de cette happy ending. — Compte lĂ -dessus, mon vieux. Et putain, ça veut rien dire demain soufflera le vent de demain ». Il a pas changĂ© d’un pouce ce sale corpo de merde. C’est hors de question que ça s’termine comme ça entre nous. J’lui fais un doigt d’honneur et j’passe par la fenĂȘtre. Merde. Et c’est lĂ  qu’il faut courir, vite. Putain de journĂ©e pourrie. J’me tire en vitesse et j’contacte un pote pour squatter son appart le temps que ça se calme. ***Putain. Ce con de Goro, c’est plus un simple chien de garde. Il a pris du galon, et j’ai appris ça aux infos. Il aurait pu me le dire, on est potes tous les deux - non ? Non. J’ai trop bu. J’balance le bol de cacahuĂštes sur l’écran de tĂ©lĂ©vision - et accessoirement sur la photo d’ce pauvre Goro. J’aurais dĂ» lui exploser la tronche Ă  ce con de corpo. HĂ©, Johnny ! C’est pas parce que j’te laisse jouer ta musique de merde ici que ça te donne l’droit de casser le matos ! — J’t’emmerde. — T’as assez bu, dĂ©gage d’ici, sale paumard. »J’lui fais un doigt et j’manque de me casser la gueule en me levant du tabouret. J’m’étais promis d’arrĂȘter de boire. Et de fumer. Comme d’hab, les bonnes rĂ©solutions ont pas durĂ© longtemps. J’attrape ma guitare et j’quitte ce rade Ă  la con. J’ai pas pu m’en empĂȘcher j’ai demandĂ© Ă  l’un des gars qui m’a aidĂ© pour l’entrepĂŽt de retrouver son adresse. J’ai juste envie d’poser une pĂȘche sur son canap et d’lui Ă©crire Va crever » sur un mur de sa piaule - ouais, c’est puĂ©ril, mais j’ai donnĂ© un concert d’enfer, j’ai trop picolĂ© et j’suis pas prĂȘt d’lĂącher l’affaire avec lui. Il m’traite comme un con, et il va payer pour ça. — Mais pas trop fort, t’inquiĂšte, V. J’sais que tu l’aimes bien, j’le tuerai pas
 Ou peut-ĂȘtre un petit peu et j’ferai faire un engramme de sa personnalitĂ© ! Ah ! Tu trouverais pas ça tordant ? Ouais non, moi non plus
 Putain, pourquoi j’te parle quand j’suis bourrĂ© ? Va pas croire que tu me manques. T’étais un crĂ©tin idĂ©aliste et j’peux pas blairer ça. J’aime que les connards cyniques
 Ouais nan, mĂȘme ceux-lĂ , j’peux pas les blairer
 Putain, faut que j’arrĂȘte de parler tout seul. J’grimpe dans ma caisse - j’devrais dire “une” caisse, c’est pas la mienne, mais c’est un truc assez pourri pour que ça dĂ©clenche aucun systĂšme d’alarme Ă  la con. On les connait les voitures de riches. Je jette la guitare sur le siĂšge passager - avec toute la dĂ©licatesse d’un mec qui a bu trois verres de trop. J’dĂ©marre l’engin - aprĂšs un temps interminable mais j’suis pas pressĂ©, et ouais, j’vais commenter chacune de mes actions, ça t’pose un problĂšme ? J’roule jusqu’à chez Goro. J’connais pas bien la ville et j’fais pas confiance aux GPS - mĂȘme les tĂ©lĂ©phones ça m’angoisse, j’ai un vieux modĂšle, du genre qui sert qu’à envoyer des messages, pas qui suit ma position. C’est pas que j’sois parano mais
 Si j’suis un peu parano. Enfin, normal quand on fait pĂ©ter des trucs j’imagine, ça Ă©vite que les flics puissent me tracer trop facilement. MĂȘme si j’me cache pas. Johnny Silverhand assume tous ses actes. Putain d’immeuble de corpo Ă  la con. C’est sĂ»r que ça vaut le coup de vendre son Ăąme pour vivre dans un bĂątiment pareil. Pff. Quelle bande de tocards de merde. J’ai toujours vĂ©cu dans des caravanes ou des motels miteux et j’m’en porte trĂšs bien. L’argent ça rend con. Et cocainoman - ouais j’parle d’expĂ©rience, et j’étais dĂ©jĂ  con avant. J’gare le machin comme un branque. J’sors et j’mets ma guitare en bandouliĂšre. J’prends le flingue de Goro, ou l’mien
 Non, celui de Goro. Arme prout-prout machin mon cul. Et j’passe par la grande porte parce que Johnny Silverhand se cache pas. Merde. Bonsoir Monsieur, est-ce que vous aviez rendez-vous ? 
 »BIM DANS TA GUEULE. CA C’EST POUR 
 Ouais non j’ai aucune revendication lĂ . J’tire sur le deuxiĂšme garde qui nous tourne le dos - faut dire que y’a un silencieux sur cette arme lĂ , hĂ© ouais. J’le rate une fois, deux fois
 Putain, ça vise pas droit cette merde. Ou c’est peut-ĂȘtre moi qui suis pas droit ? Le garde se retourne. La situation est un peu grotesque. On s’regarde comme deux chiens en rut qui veulent sauter la mĂȘme femelle. Il fait un geste pour sortir son arme, je tire, cette fois ça le touche. Il est bien ce flingue quand il marche. C’est qu’il a bon goĂ»t le corpo !Encore que deux gardes ? Il se fout vraiment de ma gueule en vrai. J’parais si inoffensif que ça ? Bon cela dit, y’en a peut-ĂȘtre d’autres qui font des rondes, et peut-ĂȘtre des camĂ©ras, mais peut-ĂȘtre que j’en ai rien Ă  foutre. J’prends l’ascenseur. VERS L’INFINI ET AU-DELA
 Pourquoi est-ce que j’pense Ă  ça ? — Putain V, qu’est-ce qu’on fout lĂ  ? J’crois que j’perds la boule - ou que je l’ai dĂ©jĂ  perdue. J’tue ces pauvres esclaves du Grand Capital comme si c’était de leur faute s’ils ont Ă©tĂ© lobotomisĂ©s. J’ai plus aucune patience pour les vendus. Puis j’ai l’alcool mauvais. Dernier Ă©tage. J’me dirige sereinement vers l’appart de Goro, j’tente de crocheter la serrure mais j’suis trop bourrĂ©, alors j’donne un coup de pied dedans - et j’me fais hyper mal parce qu’on n’est pas dans un film des annĂ©es 80. PUTAIN DE CORPO DE MERDE. J’suis con, j’aurais dĂ» rĂ©cupĂ©rer une clĂ© en bas. C’est parti pour redescendre tous ces Ă©tages Ă  la con. AprĂšs un aller-retour inutile, j’ai une clĂ© Ă©lectronique mon cul. J’ouvre la porte avec une facilitĂ© dĂ©concertante ! Quelle victoire ! Ca m’a juste pris deux heures. J’avoue qu’aprĂšs ça, j’ai plus trop envie d’chier sur son lit, enfin j’sais plus oĂč j’voulais chier mais j’crois que j’ai pensĂ© Ă  ça Ă  un moment. Du coup j’prends juste ma guitare et je joue Never Fade Away parce que j’me fais un peu de pub. Goro finit par me rejoindre en peignoir. Est-ce qu’il cherche Ă  m’draguer ? J’suis pas d’ce bord lĂ . V l’était mais pas moi. C’est clair et net et pourquoi j’pense Ă  ça ? — Tu vas rire mais par la porte. La sĂ©curitĂ© chez Mori Inc. c’est quand mĂȘme foutrement d’la merde. À croire que vous aviez pas beaucoup d’ennemis jusqu’à ce que j’me pointe ! En plus, ton flingue tire pas droit, j’ai galĂ©rĂ© Ă  viser juste. À force, tu vas croire que j’suis un sociopathe, mais j’te jure que c’est pas le cas, j’ai juste une dent contre les types en costards, et ceux en uniforme. Sauf les pompiers, j’aime bien les pompiers. Ils ont des grosses lances Ă  incendie et 
 J’ai dit ça Ă  haute voix ?J’crois que c’est depuis la mort de V que j’suis encore plus Ă©nervĂ© contre tous ces enfoirĂ©s. Il mĂ©ritait pas ce qui lui est arrivĂ©. Des sales types se sont servis d’lui et personne a pu le sauver, alors que c’était une lĂ©gende. Et un ami. Et ça, ça craint. — Tu vas m’tirer dessus ? On dirait pas. Alors j’pose ma gratte, j’me lĂšve et j’me dirige vers son mini bar - sa piaule est impeccable. Froide comme une instit dĂ©sabusĂ©e qu’a pas Ă©tĂ© touchĂ©e par son mari depuis quarante ans, mais impeccable. Ça m’donne envie de tout pĂ©ter. J’me retiens. Parce que j’suis un gars cool, et que Goro a une arme - moi aussi, mais lĂ , il visera mieux que moi, j’suis pas con Ă  c’point. J’me sers un verre de j’sais pas trop quoi. J’y connais rien en alcool Ă©tranger. Mais tant que ça fait tourner la tĂȘte et que j’vois flou aprĂšs, ça roule. — J’sens qu’on va ĂȘtre dans une sorte d’impasse toi et moi, parce que j’te tuerai pas. MĂȘme si j’en ai un peu envie. J’pense que t’es la quintessence de c’qui se fait de pire dans c’pays, t’adresser la parole, c’est un effort
 Mais j’imagine que t’es dans l’mĂȘme cas, pas vrai ? Sauf que toi, t’es bien emmerdĂ© parce que y’a ta loyautĂ© d’chien fidĂšle qui entre en jeu. Moi j’trahis personne - Ă  part moi - en te causant. Mais toi, tu fais honte Ă  toute ta grande famille corporatiste de merde. Est-ce que j’devrais vraiment le provoquer ? Est-ce que c’est pas un peu con ? Ah peu importe. J’me laisse tomber dans son canapĂ©, et j’m’allume une cigarette aprĂšs avoir bu une gorgĂ©e de son alcool pas dĂ©gueu. — De toute façon, tu peux pas me tuer, parce que rien ne te dit que ma personnalitĂ© a pas Ă©tĂ© copiĂ©e au cas oĂč j’crĂšverai parce que j’suis trop con et que j’ai aucun instinct de survie. J’te saoule lĂ  non ? J’avais l’habitude de parler Ă  V tout le temps, ça me manque. Bon, ça me gonflait de rien pouvoir faire mais c’était marrant de pouvoir t’insulter sans que tu m’ mon verre vers lui. — Alors, tu l’poses ce flingue et tu trinques ou tu restes plantĂ© lĂ  comme un putain de Christ sur sa croix ? _________________SamuraĂŻ C'est pour ça qu'il ne faut pas ramener les guerriers morts au combat. TĂŽt ou tard, ils finissent toujours par se rendre compte qu'ils se sont battus pour rien. » Messages 43Univers Cyberpunk 2077Organisation Mafia Portuaire Takemura Goro - BakenekoSujet Re Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Sexy-Goro [ Ven 1 Avr - 404 ]Il est saoul. ComplĂštement saoul. J’ignore comment il a rĂ©ussi Ă  tenir debout assez longtemps pour se traĂźner jusqu’à mon immeuble sans une Ă©gratignure -causĂ©e par les gardes, ou par lui-mĂȘme. Je roule des yeux en entendant son explication. Non, en effet, jusqu’à Silverhand, aucun de nos ennemis n’était assez stupide pour oser s’en prendre Ă  Mori Inc. Et bon sang, si ce n’était pas pour V, il ne respirerait dĂ©jĂ  plus. J’avais bĂȘtement pensĂ© qu’il ne reviendrait pas, espĂ©rĂ© qu’il disparaisse, dans un autre monde, ou dans un caniveau, sans que cela ne nĂ©cessite mon intervention. Je n’avais rien cachĂ© Ă  Mori-sama ni son nom, ni que je le connaissais, ni qu’il Ă©tait un dangereux terroriste qui avait causĂ© du tort Ă  mon ancienne corporation. J’étais loyal envers lui, loyal envers la Mafia Portuaire, et la cause qu’elle dĂ©fendait Tokyo. Et malgrĂ© cela
 Je l’avais laissĂ© filer. Une vie pour une vie. J’aurais aimĂ© que cela suffise Ă  ma conscience pour ne plus avoir de dette envers V
 Mais Silverhand m’avait Ă©pargnĂ© Ă©galement, ce qui relançait donc mon problĂšme. Je devrais l’abattre. Il est un ennemi de Mori Inc. Mais je reste lĂ , Ă  l’observer traverser la grande piĂšce principale jusqu’au bar, chaussures aux pieds. Les gaijins ne se rendent jamais compte de l’impolitesse dont ils font preuve en entrant dans une propriĂ©tĂ© japonaise sans retirer leurs chaussures. Il sort une bouteille - le Nanbubijin Junmai Daiginjo Ă  plus de 6,000 yens - et se sert un verre. Avec un peu de chance, le sakĂ© l’enverra au tapis et je pourrais le faire disparaĂźtre en toute discrĂ©tion. Mais je ne le ferais pas, et il le sait. Il se laisse tomber sur mon canapĂ©, toujours sans retirer ses bottes. Je m’approche, sur mes gardes, et croise les bras alors qu’il fait enfin preuve de rĂ©flexion.— Nous sommes dans une impasse, en pose mon pistolet sur la table basse en verre, Ă  cĂŽtĂ© du Kenshin qu’il m’a volĂ© lors de notre derniĂšre rencontre. Johnny vide son verre d’une traite, puis rĂ©cupĂšre sa guitare et se remet Ă  jouer.— 
 Le sakĂ©, ça s’ me lance l’un de ces regards qui se passe de mots. Je me doute qu’il n’est pas du genre Ă  dĂ©guster l’alcool, mais plutĂŽt de ceux qui boivent n’importe quoi jusqu’à l’inconscience. Comment fait-il pour jouer pareille mĂ©lodie dans un tel Ă©tat d’ébriĂ©tĂ©? J’ignorais qu’il Ă©tait musicien. TrĂšs bon musicien, pour se souvenir sans rĂ©flĂ©chir des frĂȘtes dans un ordre prĂ©cis avec son cerveau noyĂ© dans le sakĂ© et je ne sais quoi d’autre. Cette scĂšne est surrĂ©aliste. Tout nous oppose, mais nous avons posĂ© les armes et nous nous toisons calmement. — La seule raison pour laquelle nous nous tenons tous les deux cĂŽte Ă  cĂŽte dans la mĂȘme piĂšce sans nous descendre, c’est V. Je retourne au bar chercher la bouteille de sakĂ© et un verre, puis je m’assied Ă  l’autre bout du canapĂ©, laissant une distance raisonnable entre nous. Je me sers un fond d’alcool, et repose la bouteille sur la table basse. Je ne bois pas quand je suis au travail, je l’avais dĂ©jĂ  dit Ă  V
 Mais je suis chez moi, sur mon temps libre. J’imagine que je peux me le permettre.— Tu veux dire
 Qu’à chaque fois que j’étais avec V
 Tu Ă©tais lĂ  aussi?Nouveau regard qui en dit long. Je n’ai jamais posĂ© de questions Ă  V Ă  propos de son Ă©clat qui lui attaquait le cerveau. Je n’ai su les dĂ©tails qu’à la toute fin. C’est ma faute. J’étais trop occupĂ© Ă  planifier la vengeance de Saburo. Je ne me suis pas intĂ©ressĂ© Ă  cet homme qui a pris tant de risques pour m’aider, dans l’espoir qu’Arasaka lui rendrait la pareille. Je vide mon verre d’une traite. De toute façon, la rancoeur que j’éprouve soudain ne m’aurais pas permis d’apprĂ©cier le goĂ»t du sakĂ©.— Les mots que l’on ne dit pas sont les fleurs du silence. On m’a appris Ă  ne pas poser de questions, alors je n’en ai posĂ© aucune Ă  V. Vu la situation, je pensais qu’il prĂ©fĂ©rait ne pas parler de toi. Je respecte le remplis nos verres, et repose la bouteille. J’en achĂšterai une autre la prochaine fois que je me rendrais Ă  Tokyo. Peu importe.— Certaines choses sont parfois amenĂ©es Ă  se rĂ©pĂ©ter, certaines rencontres Ă  se reproduire. Tu es encore plus impulsif et indisciplinĂ© que V
 Mais tu lui ressembles. Il continue de jouer. J’ignore si je dois prendre cela comme une invitation Ă  continuer, ou Ă  me taire. Je suis du regard sa main mĂ©canique appuyer sur les cordes par pur automatisme. Et je me surprends Ă  apprĂ©cier le son que cela produit. — Alors, que fait-on? Une soirĂ©e de trĂȘve, et ensuite? On sait tous les deux que nous serons amenĂ©s Ă  nous affronter Ă  nouveau. Je n’ai jamais pu m’entendre avec V au sujet des corpos, je n’essaierai mĂȘme pas d’en discuter avec toi. Une fausse note. Une autre. Puis le silence. Je tourne la tĂȘte pour voir ce qu’il se passe, et le monde tourne trop vite. J’en dĂ©duis qu’il est aussi victime du Nanbubijin. Je me recule doucement, pour m’enfoncer contre le dossier du canapĂ©. Johnny s’avance pour poser sa guitare contre la table basse, mais l’instrument tombe Ă  terre, ponctuĂ© d’un juron de son propriĂ©taire. Je me redresse pour la ramasser, mais mon invitĂ© clandestin doit interprĂ©ter mon geste comme une attaque, et me fait basculer en avant aprĂšs m’avoir attrapĂ© le poignet. Comme il n’a aucun Ă©quilibre, on se cogne tous les deux contre la table basse, qui se renverse dans un fracas assourdissant. Le verre s’est brisĂ© et s’est Ă©parpillĂ© sur une bonne partie de la piĂšce. J’y vois une opportunitĂ© celle de faire croire Ă  un cambriolage qui aurait mal tournĂ©, pour couvrir ses traces. Je soupire, et tend la main pour attraper mon Kenshin qui a glissĂ© sur ma droite, mais Silverhand y voit encore un geste menaçant. J’aurais dĂ» lui prĂ©ciser ma pensĂ©e avant de bouger. Il se jette sur moi, et nous roulons sur le carrelage. Bras chromĂ©e ou pas, il a trop bu, et cette fois j’ai l’avantage. Je le maintiens Ă  terre du mieux que je peux.— Assez! Si j’avais voulu te tuer, ce serait dĂ©jĂ  fait. Ton sang recouvrirait le tapis. Je suis dĂ©jĂ  en train de rĂ©flĂ©chir pour ne pas avoir Ă  parler de toi Ă  mon supĂ©rieur
 À prends le Kenshin des mains de Johnny, et tire dans ma baie vitrĂ©e. Puis dans un vase Ă  l’entrĂ©e, et dans ma tĂ©lĂ©. J’ai une bonne assurance.— La prochaine fois que tu voudras me voir
 Ce ne sera pas ici. Trop risquĂ©. Il ne devrait pas y avoir de prochaine fois. Je suis en train de pactiser avec le diable. Combien de temps avant qu’un voisin d’un Ă©tage infĂ©rieur ne croise un cadavre dans le couloir et n’appelle la police? Je rends le Kenshin Ă  Silverhand, vu qu’il a l’air de le prĂ©fĂ©rer entre ses mains que les miennes. Je l’abandonne au sol, le temps d’enfiler quelques vĂȘtements et d’attraper mes clefs. Puis je lui tends la main, pour l’aider Ă  se relever.— Tu ne peux pas rester ici. On efface les camĂ©ras, et je te dĂ©pose oĂč tu veux. DerniĂšre Ă©dition par Takemura Goro le Sam 2 Avr - 2255, Ă©ditĂ© 1 foisMessages 39Univers Cyberpunk Leader d'une organisation terroriste » appelĂ©e Samurai. Johnny Silverhand - Relentless Rockerboy who never gives upSujet Re Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Sexy-Goro [ Ven 1 Avr - 2223 ]Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Takemura Goro Tu sais oĂč Ă©tait Johnny Silverhand quand la bombe de la tour Arasaka a explosĂ© ? Il Ă©tait un peu partout. »Je jurerai qu’il est pas mĂ©content que j’sois lĂ , mais en mĂȘme temps si. Ou alors c’est parce que j’ai un peu trop d’alcool dans le sang et que j’le vois flou. J’me rends pas bien compte. Le sak-quoi ? J’regarde le contenu de mon verre. Qu’est-ce que ça peut faire c’qu’il y a dedans ? Tant que c’est fort et que ça fait tourner la tĂȘte. T’façon passĂ© un certain stade, tous les alcools ont le mĂȘme goĂ»t. J’gratte ma guitare, sans rĂ©flĂ©chir - c’est pas comme si j’pouvais rĂ©flĂ©chir clairement lĂ . Mais j’connais mes propres chansons par coeur, ça s’fait tout seul. Ouais V est un super entremetteur. Il Ă©tait plus douĂ© qu’moi dans l’domaine de la sociabilitĂ©. Moi j’suis un vieux con qui rĂąle tout le temps. Lui, les gens finissaient toujours par l’apprĂ©cier. J’le regarde se servir Ă  boire du coin de l’oeil. Il trouve un paumard ivre chez lui et il le vire pas Ă  coup d’pied au cul - c’que j’aurais totalement fait Ă  sa place. C’est peut-ĂȘtre un brave type ce Goro finalement. J’lui souris. Ouaip. À chaque fois mon coco-corpo. J’ai entendu toutes ses petites histoires larmoyantes sur sa pauvretĂ© et l’fait qu’Arasaka l’a sauvĂ© d’la misĂšre. Il s’fait enchaĂźner et il demande juste Ă  c’que la laisse soit dorĂ©e, parce que c’est swag et qu’il est reconnaissant. Ça devrait pas me surprendre, un chien pourra jamais comprendre un loup. — Ouaip. J’étais tout le temps lĂ . Et j’me souviens de toutes les conneries que t’as pu raconter, mon grand. Enfin, en ce moment, j’me souviens pas de grand chose, mais dĂšs que j’aurais moins d’alcool dans l’sang, j’pourrais me foutre de ta gueule. Oh putain. Un proverbe. C’est vrai. Y’a que les jap pour faire ça. Ils arrivent pas Ă  capter que tout le monde dĂ©teste les proverbes Ă  la con et les phrases toute faites, c’est un truc de branleur qui lit trop de bouquins mais qui s’astique pas assez l’poireau. Mais bon, il a pas tort, c’est sympa de pas avoir Ă©tĂ© trop curieux. Évidemment que V voulait pas parler de moi, cette puce le mettait sacrĂ©ment dans la merde. J’hausse un sourcil et j’bois le verre qu’il me sert. Ça m’aurait Ă©tonnĂ© que j’ressemble pas Ă  V. Quand on passe autant de temps dans la tĂȘte d’un type, on finit par plus savoir qui on est vraiment. J’ai pas perdu les trucs qui font d’moi Johnny Silverhand, mais c’est sĂ»r que j’ai ajoutĂ© certaines choses de V. À commencer par la loyautĂ©. Et putain, ça, ça fait chier. Non parce que moi j’voulais le descendre ce con de corpo Ă  la base. J’ricane en grattant les cordes. Ouais. Et V Ă©tait plus gentil qu’moi sur le sujet des corpos. Faut dire aussi qu’il savait pas tout c’que je savais. Qu’il s’est pas retrouvĂ© dans une guerre, qu’il a pas vu les corpos bouffer l’monde. Moi j’ai vu tout ça. Ouaip, j’l’ai vu, et plein d’autres trucs. Tous ces connards de
 De quoi on parlait dĂ©jĂ  ? Putain, il tape son machin. Ça, c’est parce que j’ai un don, Ă  l’oeil, j’sais repĂ©rer l’alcool qui m’fera monter le plus vite au ciel. J’arrive mĂȘme plus Ă  m’concentrer sur mes doigts. Si j’avais su qu’les riches buvaient pas des trucs de fiottes, j’serais peut-ĂȘtre venu plus souvent pour vider leur bar. C’est l’moment d’arrĂȘter de jouer et
 — Putain, pourquoi ma guitare a Ă©tĂ© enduite de lubrifiant ? Elle tient pu debout
 J’crois que j’avais dĂ©jĂ  trop bu et que ton sakrĂ© monte Ă  la tĂȘte
 Goro tend la main vers moi. QUOI ? APRES TOUT CE QU’ON A TRAVERSÉ ? IL M’ATTAQUE PAR SURPRISE ? QUAND JSUIS TROP IVRE POUR ME DEFENDRE ? J’me laisserai pas faire ! J’lui attrape le poignet pour l’arrĂȘter mais tout n’est pas facile quand l’appartement dans lequel on se trouve tangue
 LĂ , j’perds un peu le fil, parce qu’on se casse la gueule tous les deux, qu’il essaie d’me prendre mon arme et que j’veux l’arrĂȘter mais que dĂ©cidĂ©ment, j’suis pas Ă  mon avantage dans cet Ă©tat. Faudra pas prendre le volant pour rentrer, parce que j’risquerai d’avoir un accident et ce serait nul de mourir comme ça pour une lĂ©gende du ROCK. — Oh, tu parles de moi Ă  ton supĂ©rieur ? Genre, nous deux, c’est officiel ? Pourquoi j’fais des sous-entendus ? Il va s’faire des films aprĂšs. Attends, il a parlĂ© de sang ou j’ai rĂȘvĂ© ? J’sais plus. Il parle trop. Et pas toujours pour dire des trucs qui veulent dire des trucs, c’est ça l’pire. J’crois qu’il veut pas me tuer en fait. Mais il a mon - son - flingue dans la main. Inacceptable, je l’avais volĂ© de maniĂšre rĂ©glo. Il tire dans des trucs
 Putain, soit il est trĂšs con, soit 
 Soit j’en sais rien, j’pense qu’il rĂ©flĂ©chit trop et moi pas assez. Comment ça la prochaine fois ? J’veux plus jamais le revoir ce salon con de corpo de merde
 Il me tend la main pour m’aider Ă  me relever. Je la prends, mais j’tiendrai pas debout et
 J’suis pas sĂ»r d’avoir envie de l’ĂȘtre, debout j’veux dire. Au lieu de me lever, j’attire Goro vers moi, puis j’roule pour me mettre sur lui et j’l’embrasse. ME DEMANDE PAS POURQUOI V. J’EN SAIS RIEN OK ? J’AI TROP BU ET J’FAIS ENCORE TES PUTAINS DE REVES ÉROTIQUES A LA CON. J’commence Ă  dĂ©boutonner sa chemise mais c’est hyper dur quand on a pas les yeux en face des trous. Et Goro m’arrĂȘte de toute façon. — Quoi ? T’as peur que j’te gerbe dessus ? T’inquiĂšte pas, c’est pas mon genre, et j’suis en parfaite forme pour
 Il me repousse pas aussi brutalement qu’un hĂ©tĂ©ro sĂ»r de lui l’aurait fait - mais j’aurais sans doute oubliĂ© c’dĂ©tail demain. Moi Ă  sa place, j’me serais foutu une mandale. Mais c’est pas c’qu’il fait. J’m’assois. J’m’allume une cigarette. J’ai pas trouvĂ© ça aussi dĂ©sagrĂ©able que c’que j’avais imaginĂ©. Mais c’est pas la peine d’en parler. — T’as raison. T’façon, si y’a pas d’explosion, j’peux pas bander. C’est pas pour rien que j’suis devenu un terroriste et pas vendeur de bagnole. J’souris mais ça l’fait pas rire. J’me relĂšve tant bien qu’mal en m’appuyant sur le mur. C’est dingue comme cet appart penche. Trop bizarre d’payer un loyer pour ça. J’prends ma guitare. J’range le flingue dans mon fut’. — T’sais quoi, mon vieux, j’vois pas pourquoi j’aurais envie de te revoir. On n’est pas potes tous les deux, t’es un putain d’chien de corpo et j’peux pas te saquer. Tu t’mettrais en tutu et tu danserais un ballet si ton patron te le demandait et imaginer cette scĂšne me file la gerbe. Ou alors, c’est l’alcool. Peu importe
 Tu peux me ramener chez moi, c’est
 Bah c’est dans un coin pourri, y’a des caravanes et du sable
 Mais tu vas faire tache dans l’paysage. J’le laisse passer devant, il a pas l’air hyper ravi. Et moi non plus j’le suis pas. Putain, si on n’était pas con, on se serait dĂ©jĂ  tirĂ© dessus. Ca rĂ©glerait tous nos problĂšmes. Enfin tous les miens, lui pas sĂ»r. Mais non, au lieu d’ça, il m’emmĂšne jusqu’à sa caisse - hors de prix et dans laquelle j’ai bien envie d’gerber exprĂšs - comme si j’étais un vieux pote de fac ramassĂ© par erreur un soir de beuverie. J’me laisse tomber sur le siĂšge passager, ma guitare dans les bras et ma clope au bec. — Ouais, c’est vers le Sud. Et conduis pas trop vite parce que j’me sens pas bien. Oh et faudra faire gaffe, j’ai un gros chien mĂ©chant qui s’appelle V. En vrai, il est gentil. Comme cet idiot de V, il fait confiance Ă  tout le monde. — J’aimerais bien savoir comment t’as pu remettre le couvert avec les corpos aprĂšs ce qu’ils t’ont fait quand le vieux est mort ? T’as rĂ©ussi Ă  t’convaincre qu’ils avaient eu raison de te jeter comme une merde alors que t’avais rien fait ? T’as vraiment si peu d’estime de toi ? J’devrais peut-ĂȘtre lui donner des cours pour apprendre Ă  s’respecter. Et pour rĂ©cupĂ©rer son Ăąme. M’enfin, Ă  ce compte-lĂ , j’devrais ouvrir une Ă©cole, parce qu’ils sont lĂ©gion les types dans son cas. Ça craint. J’soupire en effleurant les cordes. Qu’est-ce que mes fans penseraient s’ils me voyaient ramener un corpo chez moi ? Putain, pourquoi j’pense Ă  ça alors qu’on est presque arrivĂ© ? T’façon j’suis pas assez connu encore, faudra faire gaffe par la suite, si ça se reproduit
 Mais ça se reproduira pas, hein ? _________________SamuraĂŻ C'est pour ça qu'il ne faut pas ramener les guerriers morts au combat. TĂŽt ou tard, ils finissent toujours par se rendre compte qu'ils se sont battus pour rien. » Messages 43Univers Cyberpunk 2077Organisation Mafia Portuaire Takemura Goro - BakenekoSujet Re Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Sexy-Goro [ Sam 2 Avr - 054 ]J’allais l’aider Ă  se relever, mais au lieu de ça, je finis Ă  terre, avec Silverhand s’appuyant de tout son poids sur moi. C’est ma faute, je le pensais trop ivre pour me faire un coup fourrĂ©, et pouvoir me mettre Ă  terre. Je m'apprĂȘte Ă  lui faire une prise au sol pour reprendre le dessus, mais il Ă©crase ses lĂšvres contre les miennes, et je ne comprends plus rien Ă  la situation. Je pensais que tous ses sous-entendus n’étaient que de la provocation mĂ©langĂ©e Ă  de la stupiditĂ©; mais il semblerait que j’ai Ă©tĂ© trop naĂŻf. Alors ce qu’il me disait Ă  propos des sentiments de V Ă©tait vrai? Je ne peux m’empĂȘcher de me demander si c’est la raison pour laquelle V a acceptĂ© le marchĂ© avec Hanako. Parce que je lui ai dit que seule la corpo qui avait créé la puce pourrait l’aider, qu’ils tiendraient parole. Il avait confiance en moi, pas en Arasaka
 Et il est mort. Il a refusĂ© le contrat pour sauvegarder son Ăąme, m’a expliquĂ© que je ne serais jamais libre, et nous ne nous sommes jamais revus. Je ne rĂ©agis que quand il commence Ă  s’en prendre Ă  la chemise que je venais d’enfiler. J’attrape ses poignets et l’immobilise, puis le repousse gentiment pour qu’il se redresse. J’ai peur qu’il ne rĂ©gurgite si je lui donne un coup dans l’estomac, en effet. Et je suis un peu secouĂ© d’apprendre une vĂ©ritĂ© sur laquelle j’ai toujours fermĂ© les yeux. VexĂ©, Johnny se relĂšve et s’allume une cigarette. Je n’écoute pas ce qu’il dit, je ne sais plus quoi penser. Je n’ai aucune envie de dĂ©terrer le passĂ©, pour moi, ça remonte littĂ©ralement Ă  une vie antĂ©rieure
 Je respire une seconde, pour rĂ©cupĂ©rer mon sang froid. La prioritĂ© pour l’instant, c’est de couvrir son intrusion. Si ça devait se savoir, je serais dans une galĂšre sans nom. J’envoie un message Ă  Isidore, lui expliquant que si on lui demande, j’avais passĂ© la soirĂ©e chez lui. J’attrape une veste de jogging pour Ă©viter de trop “faire tĂąche dans le paysage”, comme me l’indique Johnny, et je rabats la capuche sur ma tĂȘte. Nous sortons de l’appartement pour rejoindre le garage. Comme il a descendu le peu de gardes de l’étage, on ne croise pas Ăąme qui vive. J’ignore comment il a rĂ©ussi Ă  les maĂźtriser vu son Ă©tat, ça relĂšve du miracle
 Une fois dans ma voiture, j’efface Ă  distance les camĂ©ras de sĂ©curitĂ© de l’immeuble, et je dĂ©marre. J’ouvre les fenĂȘtres, puisqu’il fume dans l’habitacle, et je prends donc la route, direction “le sud”. Comme il m’a parlĂ© de caravanes, j’ai une idĂ©e assez prĂ©cise de quel “sud” il s’agit. Il parle trop, tout en se remettant Ă  jouer de la guitare, et j’ai tout sauf envie de parler de V et de Corpo. Alors je l’ignore, et il continue de parler tout seul entre deux mĂ©lodies. Je devrais ĂȘtre dans mon lit, Ă  profiter d’un sommeil paisible, Ă  l’heure qu’il est. Mais au lieu de ça je me retrouve sur la route, Ă  ramener un terroriste saoul chez lui aprĂšs avoir effacĂ© toute trace de son passage chez moi. Tout ce qu’il faut pour m’accuser de trahison envers Mori Inc, et me faire descendre par un collĂšgue. Ou Mori-sama lui-mĂȘme, parce que bon sang, je suis son bras droit. Je suis censĂ© ĂȘtre incorruptible, n’avoir aucune attache, lui mĂȘme dit que les sentiments sont le dĂ©but de la fin pour des gens de notre rang, et je ne peux pas ĂȘtre plus d’accord qu’aujourd’hui. Je fais preuve de pitiĂ© Ă  l’égard de cet idiot qui fonce dans le tas comme s’il Ă©tait immortel. Si ça se savait, je serais mort. De tous les ĂȘtres que l’univers pouvait ramener, on m’a envoyĂ© la pire partie de V. — Je crois que je t’ai dit que je n’aborderai pas ce sujet avec toi. A moins que tu veuilles mettre fin Ă  notre
 TrĂȘve non passe la tĂȘte par la fenĂȘtre, comme le faisait le bichon d’Abernathy Ă  l’époque. J’ai des souvenirs d’une Ă©poque rĂ©volue, ça m’épuise
 Il finit par m’indiquer Ă  quel moment tourner, et nous passons devant quelques mobil-homes avant qu’il n’ouvre la portiĂšre alors que je n’étais mĂȘme pas encore Ă  l’arrĂȘt. Il se vautre dans le sable quand je mets le frein Ă  main. Je devrais le laisser lĂ , ce n’est plus de mon ressort. Il est trop ivre pour revenir me hanter pour aujourd’hui, et assez loin de quoi que ce soit pouvant appartenir Ă  Mori Inc pour
 Ma conscience personnelle. Je claque la portiĂšre passager. Je devrais le laisser la tĂȘte dans le sable, mais j’ai l’impression de voir V quand il Ă©tait victime de la dĂ©faillance de l’implant, et qu’il tombait Ă  terre. Je suis en train de perdre la raison. Ou alors, c’est le sakĂ©. Je soupire, sors de la voiture, j’en fais le tour, le ramasse comme une poupĂ©e de chiffon, et l’aide Ă  entrer chez lui. Il me repousse pour s’appuyer contre le mur et se dĂ©brouiller seul pour rejoindre sa chambre, et c’est le moment que son chien choisit pour faire irruption dans la piĂšce et se jeter sur moi. Pourquoi je finis Ă  terre tout le temps, quand je suis avec Johnny
? Si celui-lĂ  est le chien mĂ©chant dont il m’a parlĂ©, je me demande ce qu’est un chien “gentil” selon lui. Je me retrouve couvert de bave, et suis bien soulagĂ© de porter une veste de jogging et pas de smoking. — 
 Je ne sais pas ce que les corpos t’ont fait personnellement pour que tu en arrives Ă  de tels extrĂȘmes. Tout le monde ne fait pas partie de Mori Inc par loyautĂ© comme moi. Certains sont lĂ  parce qu’ils ont besoin d’argent, parce qu’ils sont victimes de chantage
 J’ai conscience que tout n’est pas toujours tout blanc ou tout noir. Tu tues des innocents. Nous aussi. Des dommages collatĂ©raux, inĂ©vitables pour atteindre nos idĂ©aux. On est pas si diffĂ©rents, on ne dĂ©fend simplement pas la mĂȘme un “bong”, et j’ignore s’il m’a Ă©coutĂ© ou non. Je rejoins Silverhand dans sa chambre, accompagnĂ© de son chien, et le trouve Ă©talĂ© sur son matelas. C’est vraiment ici qu’il vit
? Dans une misĂ©rable roulotte dĂ©vorĂ©e par les mites, qui n’a rien Ă  envoyer Ă  une chambre d’un motel minable
? Le chien saute sur le matelas, et se couche contre lui. Je les regarde, et je ne vois qu’un homme rongĂ© par la solitude, avec le mĂȘme regard que V lorsqu’il s’est retrouvĂ© sĂ©parĂ© de Johnny. Le regard que seuls les gens qui ne ressentent que du vide ont. Ca ne devrait pas m’atteindre, pas autant. J’ai conscience que bien des gens souffrent de la misĂšre et de la solitude Ă  travers le monde. On a tous perdu des ĂȘtres chers, des pertes que nous n’avons jamais acceptĂ©, et qui nous poussent Ă  chercher le conflit mĂȘme si cela n’est pas dans notre nature. Et quand je le vois ainsi, je me dis que ce sont nos failles qui nous rapprochent. MalgrĂ© tout ce qui nous oppose. Je renvoie un message Ă  Isidore, qui doit dormir Ă  poings fermĂ©s. “Rectification si on te demande, j’ai passĂ© la NUIT chez toi.” Je sens que ça va me valoir une vingtaine d’appels manquĂ©s en dĂ©but de matinĂ©e. Avant mĂȘme qu’il n’apprenne pour le “cambriolage”. J’ai prĂ©fĂ©rĂ© rester chez Silverhand. Au cas oĂč il se trouverait mal. J’ai jouĂ© Ă  la balle avec son chien, je me suis fait un cafĂ© -immonde, je n’en ai bu qu’une gorgĂ©e- j’ai fait de l’origami avec ses paquets de cigarettes vides, et j’ai aussi mĂ©morisĂ© quels entrepĂŽts de Mori Inc Ă©taient rĂ©pertoriĂ©s sur une carte de la ville qui trainait sur la table, sous un tas de magazines -indĂ©cents, pour la plupart- et de pubs. Quand les premiĂšres lueurs du jour commencĂšrent Ă  Ă©clairer la piĂšce Ă©triquĂ©e du mobilhome, je pris la route, pour aller planter ma voiture dans un fossĂ©. Au cas oĂč. Mieux vaut prendre trop de prĂ©cautions que pas assez. - - - - - - - - - - - - - - -Il m’a fallu marcher une heure dans le dĂ©sert avant de trouver une station de bus pour pouvoir rentrer. Avant de rentrer, je suis passĂ© rĂ©cupĂ©rer une carte prĂ©payĂ©e pour envoyer un message Ă  Silverhand “MĂȘme la queue pourrie d’une daurade en vaut la peine. ” J’en renvois un alors que j’arrive Ă  l’entrĂ©e de mon immeuble, bouclĂ© par les flics. “La prochaine fois, on se verra chez toi, ou dans un motel. Ne viens pas directement Ă  moi, trop risquĂ©â€ puis un autre alors que le concierge court vers moi, affolĂ©. “J’ai nourri V. Le chien. Donne lui un bain. Il a l’odeur d’une yagi”. J’ignore comment on dit chĂšvre alors je l’écris en japonais, peu importe. “Ne laisse pas l’absence de V te consumer” Ha, je vois ma voisine du dessous, Minami-san. J’ai la migraine qui pointe. “Le vrai V, pas le chien.” DerniĂšre Ă©dition par Takemura Goro le Sam 2 Avr - 2256, Ă©ditĂ© 1 foisMessages 39Univers Cyberpunk Leader d'une organisation terroriste » appelĂ©e Samurai. Johnny Silverhand - Relentless Rockerboy who never gives upSujet Re Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Sexy-Goro [ Sam 2 Avr - 1748 ]Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Takemura Goro Tu sais oĂč Ă©tait Johnny Silverhand quand la bombe de la tour Arasaka a explosĂ© ? Il Ă©tait un peu partout. »Ah ! Il a trouvĂ© l’endroit tout seul comme un grand. Ça c’est un bon corpo-gps
 J’ouvre la porte et j’sais pas pourquoi, le sol est pas stable, donc j’me ramasse la gueule. Putain. J’grogne. Quoique j’pourrais rester là
 C’est pas si inconfortable
 Mais quelqu’un vient me relever. Ah oui, Goro. Il Ă©tait lĂ . Un autre corpo se serait barrĂ© direct. Qu’est-ce qu’il fout encore lĂ  ? Il a succombĂ© Ă  mon charme irrĂ©sistible, comme Alt
 Et Rogue
 Et Kerry - amicalement. Il m’aide Ă  entrer chez moi. Ok, c’est bon. Maintenant, il peut s’tirer. J’le pousse et j’me dirige vers la chambre. En m’appuyant sur le mur. Marrant, on dirait qu’il est mou et l’effort est compliquĂ©. J’aurais pas dĂ» prendre ces pilules au bar, non plus. T’façon j’devrais pas prendre les pilules d’un inconnu Ă  la base, c’est quoi cette attitude irrĂ©flĂ©chie ? J’ai toujours Ă©tĂ© aussi con ou c’est juste maintenant ? J’vois V du coin de l'Ɠil mais c’est pas moi qu’il vient saluer. Il se jette sur Goro et ça m’fait rire. Bon chien ça. J’entends l’corpo qui braille des trucs, mais j’capte que la moitiĂ© des mots. J’suis pas en Ă©tat de lui rĂ©pondre intelligemment t’façon. Et ça sert Ă  rien de dĂ©battre avec un type qui m’comprendra jamais. J’vacille jusqu’à ma piaule, j’fais tomber ma guitare - elle en a vu d’autre ! Et j’m’allonge sur mon matelas. Ah. Enfin un peu de calme. Putain, plus jamais j’bois du skaré  Du truc de jap. C’est forcĂ©ment ça qui m’a achevĂ©. V grimpe Ă  cĂŽtĂ© de moi, j’lui gratouille tĂȘte et j’crois que je m’endors. *Putain de migraine atroce. Quelle vie de merde. Promis, j’bois plus jamais. Enfin, au moins jusqu’à ce soir. V me lĂšche la joue, je lui caresse sa grosse tĂȘte toute mignonne - parce que c’est le seul Ă  qui j’peux pas faire la tronche et que j’ai jamais envie d’engueuler. — Ouais
 Ouais
 Faut s’lever. Tu sais que t’es presque plus chiant en chien qu’en humain, V ? J’ai un putain de marteau-piqueur dans la tĂȘte. J’ai besoin d’un cafĂ©. J’manque de me casser la gueule en sortant du lit. V me tourne autour comme si j’avais un morceau de steak saignant dans l’cul. Y’a des pliages chelou de mes paquets de clopes sur la table et une tasse de cafĂ©. Oh putain c’est vrai, j’suis passĂ© chez Goro hier soir
 — J’me souviens plus de c’qu’on a fait. Tu crois que j’ai dĂ©connĂ© ? Non attends, si y’a ces merdes lĂ , c’est qu’il m’a ramenĂ© chez moi et qu’il est resté  Donc j’ai pas dĂ» trop l’énerver. Ou alors, il commence Ă  s’attacher et tu veux que j’te dise ? C’est pas une bonne chose. Et c’est de ta faute, V. Ouais, me fais pas cette tronche-lĂ , tu pouvais pas t’empĂȘcher de flirter avec les corpos et voilĂ  oĂč ça nous mĂšne. Je jette les origamis de Goro
 Sauf un. Pas par sentimentalisme ou quoi, hein. Juste comme ça. J’le pose sur le bar de la cuisine. C’est un peu mignon cette connerie. Moi qui pensais que les corpos Ă©taient que des robots sans Ăąme et sans passion. J’vide sa tasse de cafĂ© et j’m’en sers un chaud Ă  la place. — Allume la tĂ©lĂ©, V. V appuie sur l’interrupteur du vieil Ă©cran de tĂ©lĂ©vision. C’est old school chez moi. J’ai pas les moyens, et honnĂȘtement, j’m’en contrebranle. Tant que j’ai une guitare et une machine Ă  cafĂ©, le reste, c’est pour faire joli. J’attrape mon tĂ©lĂ©phone. Cinq messages d’un numĂ©ro inconnu. C’est une blague ? Va falloir qu’il redescende un peu. On est pas potes. Pas la peine de s’envoyer des textos. Et putain ça veut dire quoi La queue pourrie d’une daurade en vaut la peine ? C’est un truc sexuel ? J’commence Ă  croire qu’il invente des trucs en faisant style que ça vient de son pays pour se foutre de ma gueule et j’aime pas beaucoup ça. J’peux mĂȘme pas le lui dire, ce serait raciste. Merde. J’bois une gorgĂ©e de cafĂ© dĂ©gueulasse. Comment ça la prochaine fois ? Mais y’aura pas de prochaine fois. Enfin pas dans un motel. Et pas chez moi nom de Dieu. Si mes copains terroristes le voyaient ici, ce serait la fin d’une putain de lĂ©gende. Johnny Silverhand peut pas ĂȘtre pote avec un corpo. C’est comme dans RomĂ©o et Juliette, sauf que c’est pas une love story, et que j’suis foutrement plus sexy que RomĂ©o. Je rĂȘve. De quoi il se mĂȘle ? L’absence de V me consume pas. C’est juste que c’est pas pareil sans lui. Puis c’est quoi une yagi ? Il a cru que j’parlais jap ? J’rĂ©ponds un truc du style “Ouais. Sympa d’ĂȘtre restĂ©, ducon.” Parce que c’est ma façon d’lui dire merci. J’attrape la tĂ©lĂ©commande et j’monte le son. Ils parlent de Goro aux infos. Un cambriolage ? Bah putain. J’me souviens pas avoir piquĂ© quoi que ce soit pourtant
 Bon cela dit, j’me souviens mĂȘme plus pourquoi j’me suis pointĂ© chez lui. Il a dĂ» inventer un truc pour les gardes morts. MĂȘme bourrĂ©, j’peux pas m’empĂȘcher de tuer des types qui font juste leur taf - fallait pas bosser pour Mori Inc, j’vais pas culpabiliser pour ça. — Qu’est-ce que t’en penses, V ? Tu l’aimes bien, Goro ? Ouais, forcĂ©ment tu l’aimes bien. Moi aussi j’crois. Ça me rappelle le bon vieux temps. Et puis aprĂšs une soirĂ©e pareille, il osera plus jamais m’foutre une balle dans la tĂȘte. C’qui veut dire que j’vais pouvoir faire pĂ©ter tout ce que je veux. J’caresse V qui remue la queue, en finissant mon cafĂ©. “Ok. Viens bar God Sucks demain soir, c pas loin dchez moi. Pas dcostard. Concert d’enfer.” *Écrire de nouvelles chansons, ça a Ă©tĂ© tout un merdier. J’avais l’inspi mais faut composer derriĂšre et sans Kerry pour me motiver, c’est pas pareil. J’ai remontĂ© un groupe avec les moyens du bord, mais y’en a pas un qui m’supporte plus de trois mois. Et ça aide pas. Faut dire que ce sont tous des cons. Pas un vrai un zicos. De nos jours, plus personne prend l’temps d’apprendre Ă  jouer d’un instrument. Puis ils ont pas l’ñme de rockeur qui va avec. C’est pas innĂ© d’jouer ma musique. Faut avoir l’ñme et l’coeur d’un rebelle. Et ces gars l’comprennent pas. Putain, j’dĂ©teste le futur. Mais j’monte sur scĂšne quand mĂȘme, parce que Show must go on. Et puis, tant que moi je joue comme un Dieu, le reste, on s’en fout. J’fais mes nouvelles chansons et tous les paumards du bar ont l’air de kiffer. En vĂ©ritĂ©, le groupe marche plutĂŽt pas mal, c’est juste que c’est un truc d’initiĂ©. La musique d’aujourd’hui, c’est d’la merde qui donne envie d’se crever les tampans. Mais ça plait au grand public, alors les connards continuent d’en faire. La plupart des gens sont devenus des esclaves du grand Capital et ils ont pas envie qu’on le leur crie dans la tronche. Ils prĂ©fĂšrent quand y’a que du son ringard et sans vie. Le pire, c’est que tous les groupes d’aujourd’hui se prennent pour des putains de stars. C’est pas ĂȘtre une star que d’remuer son cul sur une scĂšne en faisant “mhmhm” parce que dire des trucs aux gens d’nos jours, ça sert plus Ă  rien. C’est ĂȘtre un putain d’nazi d’la musique. J’termine sur Never fade away parce que merde. J’suis quand mĂȘme Johnny Silverhand. Et que j’les adore ces vieux tubes. MĂȘme si personne les fois fini, j’signe trois, quatre autographes sur des nibards, j’prends une ou deux photo et j’me tire. J’étais une super-star avant. C’est long et chiant de devoir remonter la pente. Mais ça va venir. J’vois Goro assis Ă  une table dans un coin. J’m’installe avec lui. Il a fait l’effort de pas trop s’habiller comme un corpo, mais ça se sent. Il a bien fait d’pas s’foutre au bar. Un junkie ivre l’aurait provoquĂ© direct. J’commande deux Johnny Silverhand. — J’aurais jamais pensĂ© t’convaincre de venir dans ce rade pourri. Tu sais qu’t’as un grain ? Tu dois ĂȘtre le corpo l’plus dĂ©bile que j’ai jamais rencontré  Quoique maintenant que j’y pense, t’es l’premier avec lequel j’échange plus de deux mots, donc difficile de comparer
 Si on omet ce connard de Saburo. T’énerves pas, tu peux bien admettre que j’ai obtenu l’droit de l’insulter aprĂšs qu’il a utilisĂ© le tueur d’ñme sur moi, non ? Que tu l’veuilles ou non, c’était pas un type sympa. Moi non plus, mais lui encore moins. La serveuse nous amĂšne nos verres, j’trinque avec mon nouveau meilleur pote corpo et j’bois une gorgĂ©e. J’dois ĂȘtre la seule LĂ©gende de Night City qui peut boire son propre cocktail, si c’est pas la classe. — T’en fais pas, j’boirai pas autant que l’autre soir. Alors, comment t’as trouvĂ© l’concert ? J’suis sĂ»r que t’es du genre Ă  Ă©couter que d’la musique classique ou du jazz, genre celui qui passe dans les ascenseurs. Ça doit t’changer un peu. Et ouais, j’parlais de toi dans la chanson Unleash the dog. J’m’allume une cigarette. Une nana punk vient en minaudant pour que j’lui signe un autographe sur une fesse. J’le fais sans trop regarder et elle me glisse son numĂ©ro avant d’retourner auprĂšs de ses potes. — T’as l’droit de dire que c’était d’la merde. J’suis pas un corpo, l’hypocrisie ça m’file la gerbe. _________________SamuraĂŻ C'est pour ça qu'il ne faut pas ramener les guerriers morts au combat. TĂŽt ou tard, ils finissent toujours par se rendre compte qu'ils se sont battus pour rien. » Messages 43Univers Cyberpunk 2077Organisation Mafia Portuaire Takemura Goro - BakenekoSujet Re Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Sexy-Goro [ Dim 3 Avr - 045 ]J’ai eu beaucoup de travail, toujours Ă  cause des retombĂ©es de l'entrepĂŽt qui a explosĂ© Ă  cause de Silverhand. Rassurer nos clients, nos fournisseurs, nos sponsors, nos partenaires, un vĂ©ritable casse-tĂȘte. Il a fallu revoir la sĂ©curitĂ©, maintenant que nous avions quelqu’un d’assez fou pour se dresser face Ă  nous et agir de façon aussi impulsive et dangereuse
 Mes voisins me regardent de travers, soucieux que les couloirs de l’immeuble ne soient Ă  nouveau jonchĂ©s de cadavres Ă  cause de ma prĂ©sence. J’ose espĂ©rer que Johnny n’y mettra plus les pieds, et se contentera de me harceler de messages pour que l’on se rencontre en zone neutre
 C’est aussi dangereux pour lui que pour moi, que l’on soit vu ensemble. On ne devrait mĂȘme pas se voir. Nous n’avons qu’une chose en commun, c’est la raison pour laquelle on continue de se parler malgrĂ© ce qui nous sĂ©pare. V. Nous n’arrivons pas Ă  faire notre deuil, nous sommes donc en colĂšre, et Ă  la recherche de conflits, ou de tout ce qui pourrait nous le rappeler. Je ne sais pas oĂč cette relation va nous mener, en tout cas pour l’instant, elle ne m’apporte rien de respectĂ© la demande de Silverhand, je n’ai pas mis de costume, et je me suis rendu Ă  l’endroit indiquĂ©, non sans apprĂ©hension du “concert d’enfer” qu’il m’avait promis. Le videur hausse un sourcil en me voyant - j’ai pourtant portĂ© une attention particuliĂšre Ă  ne pas avoir l’air trop reconnaissable, aprĂšs tout, on voit mon visage un peu trop souvent dans les mĂ©dias en ce moment - mais il me laisse entrer. Je n’avais pas portĂ© de jeans depuis
 Jamais. J’ai l’impression d’ĂȘtre en pyjama. J’ai enfilĂ© une chemise blanche et la veste de jogging de la derniĂšre fois, la noire. Je suis loin du look trĂšs sombre des personnes dĂ©jĂ  prĂ©sentes Ă  l’intĂ©rieur du bar, c’est sans doute la raison du regard insistant du videur, et de certaines personnes que je pousse doucement pour me frayer un chemin. Johnny n’a pas l’air d’ĂȘtre arrivĂ©, pour l’instant, alors je m'assieds Ă  une table en retrait, dans un coin du bar. Je commande un cafĂ©, et je m’attire Ă  nouveau des regards Ă©tranges. Je ne comprends pas ce qu’il y a d’étrange de boire un cafĂ© dans un bar, surtout Ă  une heure tardive. Je ne pense pas ĂȘtre le seul Ă  avoir beaucoup de route Ă  faire au retour, vu l’emplacement perdu des lieux, mais bon. L’heure tourne, et je ne vois toujours pas Silverhand. Il commence Ă  y avoir du monde qui s’entasse devant la scĂšne, puis soudain, les lumiĂšres s’éteignent, et dans l’obscuritĂ© totale, une voix rĂ©sonne soudain “Mesdames et Messieurs, RETURN OF THE SAMURAI!” Des cris suraigus retentissent suite Ă  l’annonce, les spots s’allument, aveuglants, et Ă©clairent le groupe sur scĂšne. S’avançant jusqu’au micro, je reconnais Johnny. Il ne perd pas de temps Ă  prĂ©senter le groupe, la musique dĂ©marre en trombe, et il se met Ă  gueuler dans le micro. Les spectateurs secouent la tĂȘte dans tous les sens, et font les cornes de diable avec leurs doigts. Ca ne surprendra personne, mais c’est le premier concert de rock auquel j’assiste, dans toute ma vie. Poser des jours de congĂ©s, ça n’existe pas quand on sert Saburo Arasaka en personne. Je n’avais le temps ni pour les concerts, ni pour avoir une vie de famille ou une vie amoureuse, ni pour avoir des passe-temps trop prenants. J’avais compris qu’il Ă©tait un bon musicien en le voyant jouer sans avoir les idĂ©es claires, mais il Ă©tait encore meilleur en rĂ©alitĂ©. Les chansons s’enchaĂźnent, le public se dĂ©chaĂźne. De jeunes filles devant la scĂšne enlĂšvent leurs t-shirts et les jettent aux pieds des musiciens. Je hausse un sourcil, mais ça n’a l’air de surprendre personne Ă  part moi. Sur scĂšne, Silverhand est Ă©clatant. Sa prestance est incroyable, j’en oublierai presque Ă  quel point il est tĂȘtu et grossier. Il n’a rien Ă  voir avec la carcasse imbibĂ©e d’alcool qui s’était traĂźnĂ©e jusqu’à chez moi il y a deux jours. Cette coquille vide qui vivait dans un trou Ă  rat, qui ne supportait personne et que personne ne supportait Ă  part son compagnon Ă  4 pattes. Cet homme qui appartenait Ă  un autre temps, et qui s’était laissĂ© aller avec moi l’espace d’un instant, comme si j’étais capable de contenir son dĂ©sespoir et sa folie. Je n’ai pas pu sauver V. Je ne pourrais pas le sauver, lui non plus. Je prĂ©fĂ©rais oublier ce baiser. Il n’avait aucune valeur, sous l’influence de l’ moment oĂč je vois le premier soutien-gorge voler dans la foule, je reconnais l’air crachĂ© par les hauts parleurs. C’est la musique que Johnny jouait chez moi, puis dans ma voiture. Je prĂȘte une oreille attentive aux paroles, car si je connaissais la mĂ©lodie, je n’avais jamais entendu les mots qui l’accompagnaient. Et ils m’atteignent plus que je ne l’aurais cru, me prenant par surprise. Je me demande si c’est lui qui l’a Ă©crite. Celle-ci, et les autres. Quand elle se termine, elle laisse place Ă  une foule d’applaudissements. Les jeunes filles de tout Ă  l’heure remuent leur poitrine devant la scĂšne, et Johnny y signe des autographes. DrĂŽle de coutume. Il descend de scĂšne, traverse la foule, et me rejoint. LĂ , je me fais foudroyer par les demoiselles torse-nu, et je sais que ce n’est pas parce que j’ai fait quelque chose d’étrange. C’est de la jalousie, pure et simple. Il ne me salue pas, et crache son venin comme il sait si bien le faire. Je remarque d’ailleurs un serpent, tatouĂ© sur sa main droite. Au moins, il assume ce qu’il est. Je frappe la table du plat de la main plus fort que prĂ©vu, en me relevant par automatisme pour protester Ă  propos d’Arasaka-sama, mais Johnny m’arrĂȘte de suite. Je me rassieds, ravalant ma colĂšre. Il n’a pas tort. Ce qu’il lui avait fait Ă©tait atroce. Il y a des choses bien pires que la mort
 La serveuse nous amĂšne deux cocktails qui ont apparement le nom de Johnny, et la curiositĂ© me pousse Ă  en boire une gorgĂ©e pour me faire une idĂ©e du goĂ»t. Les lĂšvres de Silverhand avaient le mĂȘme, et cette pensĂ©e me dĂ©concerte. Je repose le verre sur la table, et fuit son regard, pour tomber sur les fesses d’une jeune fille qui semble avoir oubliĂ© d’enfiler un pantalon. Elle tend un marqueur Ă  Johnny, qui y appose sa signature, et elle lui laisse son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone en repartant, non sans plusieurs clins d’oeil.— 
 Ravi d’avoir Ă©tĂ© une source d’inspiration. D’habitude, j’écoute surtout des musiques traditionnelles. J’aime le son des shamisens. Celui des guitares s’en rapproche un peu, alors j’apprĂ©cie ce que tu fais. Quoi que c’était plus apprĂ©ciable sans tous les cris du public ainsi que les percussions en fond, et sur mon canapĂ©. Je bois une autre gorgĂ©e de Johnny Silverhand. La tequila a un gout pimentĂ© qui me pique la langue, mais c'est apprĂ©ciable. Je peux comprendre qu’on se retrouve rapidement Ă  terre avec deux verres de ce cocktail-lĂ . — Tu n’es pas plus raisonnable que moi. TraĂźner avec le bras droit de Mori Inc, aprĂšs avoir chantĂ© ces atrocitĂ©s au sujet des corpos
 Ça te dĂ©crĂ©dibilise. Mais si ça pouvait pousser cette jeune fille Ă  couvrir son derriĂšre, ça m’ n’ai jamais vu autant de gens dĂ©nudĂ©s sauf aux sources thermales. Et c’est peu dire. Je m'intĂ©resse aux autres membres du groupe -apparement Ă©phĂ©mĂšres, ce ne sont jamais les mĂȘmes- puis Ă  ses chansons. Je lui explique que j’ai reconnu Never fade away. Je crois que ça lui “en bouche un coin”. On vide nos verres, et comme les lumiĂšres sont plus vives et que j’ai la tĂȘte qui tourne, je me demande combien de verres il avait bu avant de s’introduire chez moi, parce qu’il a l’air d’avoir bu un simple verre d’eau. Il m’explique que jouer de la guitare, ça s’apprend. Tout s’apprend. Mais les paroles d’une chanson, ça traduit des Ă©motions. On ne peut pas Ă©crire sur des choses que l’on ne connaĂźt pas, que l’on a pas vĂ©cues. Sinon ça sonne creux. — Je n’avais jamais vu la musique comme un exutoire
 Tu m’apprendrais Ă  jouer?Il Ă©clate de rire, mais comme je reste de marbre et l’observe en silence, il s’allume une cigarette et en inspire calmement une bouffĂ©e. Il m’explique que ça se voit que je ne saurais mĂȘme pas jouer au clair de la lune parce que je suis “raide comme la trique d'un prĂȘtre qui s'est pas branlĂ© depuis 25 ans” mais il veut bien essayer de m’apprendre Ă  fumer sous l’eau parce que le rythme est relativement lent et qu’il y a peu de notes. Il m’explique aussi que la couleur violet profond c’est un truc de branleurs dopĂ©s au prozac qui croient que le rock c’est une berceuse pour pĂ©tasse qui s’est faite plaquĂ©e comme on couche un rĂ©verbĂšre avec un six tonnes, et je ne comprends pas un traĂźtre mot de ce qu’il vient de m’expliquer. C’est quand il commence Ă  m’expliquer que fumer sous l’eau, ça commence par la note sol, que je comprends qu’en fait, il me parle d’une chanson qui s’appelle Smoke on the Water, et qu’on parle pas d’une couleur mais d’un groupe qui s’appelle Deep Purple. Comme je hoche la tĂȘte depuis tout Ă  l’heure, il ignore Ă  quel point je suis une cause perdue, alors il accepte d’essayer de m’apprendre Ă  jouer, et me traĂźne dans sa loge. Pourquoi je lui ai demandĂ© ça? Ah oui. La tequila. On entre dans la loge, et face Ă  un mur couvert de miroirs bordĂ©s d’ampoules, il y a plusieurs guitares. Celle de Johnny est nĂ©gligement posĂ©e sur une banquette dont le cuir bleu ciel en a trop vu passer, et est craquelĂ© de partout. Je m’y asseois et prend sa guitare sur les genoux. Je donne un coup sec sur les cordes, et ça sonne dĂ©jĂ  trĂšs bien. Ou alors c’est encore la tequila. Messages 39Univers Cyberpunk Leader d'une organisation terroriste » appelĂ©e Samurai. Johnny Silverhand - Relentless Rockerboy who never gives upSujet Re Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Sexy-Goro [ Dim 3 Avr - 1133 ]Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Takemura Goro Tu sais oĂč Ă©tait Johnny Silverhand quand la bombe de la tour Arasaka a explosĂ© ? Il Ă©tait un peu partout. »Oh putain, c’est la premiĂšre fois qu’il dit un mot dans sa langue que j’comprends. MĂȘme si c’est pas banal. Et que j’trouve ça un poil ridicule, Ă  son Ăąge, Ă  notre Ă©poque, d’écouter d’la musique traditionnelle. Mais ça m’étonne pas. Il est l’archĂ©type du corpo japonais jusqu’au bout des ongles de pied. Par contre, c’qui me surprend, c’est qu’il ait pas trouvĂ© ça nul Ă  chier - ça l’était pas, mais l’rock, c’est pas donnĂ© Ă  tout le monde, faut avoir un certain sens de la musique et une Ăąme de connard cynique qui peut pas s’empĂȘcher d’croire aux lendemains meilleurs. Si on a pas ça, la mĂ©lodie nous traverse sans qu’on ressente rien, comme une partie d’jambes en l’air avec un type qui a un micropĂ©nis. J’suis presque content d’apprendre que Goro possĂšde cette sensibilitĂ© lĂ . C’était inattendu - ou peut-ĂȘtre que j’le savais au fond, et que c’est pour ça que j’arrĂȘte pas de m’incruster chez lui
. Et de jouer de la guitare sur son canapĂ© visiblement ? J’m’en souviens pas. Sans doute que ça vaut mieux; Si y’a que ça pour lui faire plaisir, j’ai pas assez l’occasion de juste gratter ma guitare tranquille, loin d’un public surexcitĂ© et des p’tites culottes volantes. C’est sĂ»r que ça sauve pas des vies, mais contrairement Ă  c’que j’croyais avant de rencontrer V, ça m’fait du bien. Avant, j’me laissais bouffer par la haine, rien pouvait me soulager. C’était con, parce que la musique, c’est la meilleure façon d’exprimer toute cette merde. Et Ă  cĂŽtĂ© d’ça, j’peux changer les choses en faisant pĂ©ter des trucs, mais les deux me semblent essentiels aujourd’hui. Ah putain, il a pas tort. J’finis mon verre d’une traite. Bon Dieu que j’aime ce cocktail. Ouais, si les gens savaient. Mais ils savent pas. Puis ça a rien Ă  voir. Fin, Ă©videmment que j’peux pas blairer tout ce qu’il reprĂ©sente et tout ce pourquoi il s’bat, mais j’crois que le type sous tout ça, il est sympa. Et y’a pas beaucoup d’gens sympas dans cette putain de ville de merde. J’dis pas que c’est mon meilleur pote, juste que j’commence Ă  comprendre pourquoi V l’aimait bien. Il ressent des trucs sous sa carapace de connard de corpo. — Je traĂźne pas avec toi, je t’ouvre Ă  une autre vision du monde pour qu’tu rejoignes mon combat. Ça a rien Ă  voir. Et j’peux te dire que si quelqu’un savait qui tu es ici, c’est toi qui finirais Ă  poil. Je tire sur ma cigarette et on discute briĂšvement. J’trouve ça dingue qu’il s’intĂ©resse. Et qu’il ait reconnu Never Fade Away. J’vais peut-ĂȘtre en faire une vraie groupie Ă  force. J’lui explique deux, trois trucs de zicos - de mon point de vue Ă©videmment, ceux qui font de l’électro-punk sont des tocards qui diraient qu’la musique, c’est appuyer douze fois sur la mĂȘme touche de son clavier et rĂ©pĂ©ter en boucle la mĂȘme phrase Ă  la con du style Le monde, c’est de la merde. » J’comprends qu’on puisse pas tous ĂȘtre des gĂ©nies, mais eux, ils sont Ă  la musique ce que Bill Cosby Ă©tait Ă  la tĂ©lĂ©vision. Je
 Quoi ? J’éclate de rire. Il sait vraiment dĂ©tendre l’atmosphĂšre ce corpo. Apprendre la guitare Ă  un costard, j’aurais tout entendu ! Mais
 C’est qu’il a l’air sĂ©rieux. — Écoute, ça se voit que tu pourrais mĂȘme pas jouer au clair de la lune parce que t’es raide comme la trique d’un prĂȘtre qui s’est pas branlĂ© depuis vingt-cinq ans
 Mais bon, j’imagine que ça peut s’tenter. Et ça m’fera marrer. On peut commencer par un truc de Deep Purple, genre Smoke on the water, mĂȘme si
 C’est quand mĂȘme sacrĂ©ment de la merde. Blablabla. On peut pas dĂ©buter avec du Jimi Hendrix. Takemura a l’air de m’écouter avec beaucoup trop d’attention. C’est l’alcool qui lui fait cet effet ? Putain, il doit pas en boire souvent. Il faisait quoi sur son temps libre avant d’croiser ma route ? 
 Il devait pas avoir d’temps libre, j’imagine. Esclave des corporations, tout ça. Bon, puisqu’il a toujours l’air motivĂ©, j’l’emmĂšne dans ma loge - pas un truc de diva, on est pas au Konpeki Plaza ici. Mais ça suffira. J’le regarde attraper ma guitare sur l’canapĂ©. Il fait un bruit dĂ©gueulasse en frottant les cordes. J’hĂ©site Ă  lui dire qu’on arrĂȘte tout, qu’il est pas prĂȘt psychologiquement mais
 Bon, il est plein d’bonne volontĂ©. C’est pas souvent d’la part d’un corpo. J’attrape deux biĂšres qui sortent d’un bac avec des glaçons fondus - du coup c’est frais mais pas trop, heureusement que j’suis pas difficile. J’les dĂ©capsule et j’pose celle de Goro Ă  cĂŽtĂ© de lui. — Calmos, Choom. T’es pas David Gilmour encore. DĂ©jĂ  faut revoir la position de tes mains. Tu vas pas culbuter une jument sauvage lĂ , alors sois pas aussi dur et contractĂ©. J’bois une gorgĂ©e de biĂšre, j’lui prends la guitare des mains, et j’lui montre. Rien d’sorcier, mais bon j’me souviens de mes dĂ©buts - vaguement, c’était y’a un bail. On s’rĂȘve rockeur alors qu’on arrive pas Ă  aligner trois accords. T’façon j’ai toujours Ă©tĂ© moins bon que Kerry, mais j’ai la passion, ça compense la musicalitĂ© imparfaite. Et puis dans le rock, faire une fausse note, c’est pas la fin du monde. J’lui rends l’instrument pour qu’il essaie. Évidemment, avec son balai dans l’cul, ça aide pas. Il devrait jouer du violoncelle ou d’la clarinette, pas d’la gratte. Mais c’est marrant. Il s’concentre trop. — Ok, ok. Stop. Si j’avais d’la beuh lĂ  sur moi, j’t’en filerai, parce que t’es tendu comme un string. Essaie pas d’me faire plaisir, faut que tu sentes le truc, pas qu’tu forces comme si tu dĂ©moulais un cake. C’est trop. J’pose ma cigarette dans un cendrier et j’fais signe Ă  Goro de se lever. J’me place derriĂšre lui et j’pose mes doigts sur les siens. — Avant que tu t’fasses des idĂ©es, ouais, ça r’ssemble vachement Ă  un truc de charro pour sĂ©duire les gonzesses, mais t’es une cause dĂ©sespĂ©rĂ©e musicalement parlant et j’vois pas comment t’montrer ça plus clairement. Alors laisse-toi faire. J’vais doucement, mes gestes sont plus fluides que les siens, et moins contractĂ©s. J’le lĂąche et il rĂ©ussit Ă  refaire le dĂ©but tout seul. Bah voilĂ  ! J’reprends une gorgĂ©e de biĂšre. C’est peut-ĂȘtre pas si dĂ©sespĂ©rĂ© en fait. Merde alors, j’commence presque trouver sa compagnie agrĂ©able. J’pourrais peut-ĂȘtre en faire un vrai rockeur avec un peu de temps. S’il acceptait d’monter sur scĂšne avec moi, ce serait l’comble. Un corpo coincĂ© qui fait des solos d’guitare de ouf mon rĂȘve. — C’est pas si mal, mon vieux. T’as peut-ĂȘtre ratĂ© une vocation en enfilant un costard plutĂŽt qu’un pantalon en cuir moulant. Mais l’truc avec la guitare, c’est qu’il faut s’entraĂźner tous les jours. Ça suffira pas d’prendre des cours occasionnels avec une lĂ©gende. Sans prĂ©tention. Évidemment. J’lui fais signe de passer Ă  la suite du morceau. J’me place face Ă  lui et j’positionne ses doigts comme il faut. J’sais pas si c’est l’alcool, ou la musique, ou la loge crasseuse, ou l’fait qu’il n’ressemble plus Ă  un corpo de mes deux, ou les quatre Ă  la fois, mais
J’l’embrasse. Et lĂ  c’est l’putain de drame. Il laisse tomber la guitare. J’le plaque contre un mur. Tout ça, c’est la faute de V. Doit rester des rĂ©sidus d’sa sexualitĂ© Ă  lui dans ma personnalitĂ© Ă  moi. Merde. J’me vois parfaitement glisser une main jusqu’à son entre-jambe
 HĂ© Johnny, c’est toi qu’as la synthĂ©coke ? J’suis avec Lov et
 Parce qu’on frappe jamais avant d’entrer quelque part chez les rockeurs, c’est bien connu. Putain. — J’vous dĂ©range ? — Nan, on faisait juste un checkup de nos dentitions respectives, ducon. — Pas la peine de t’énerver
 J’savais pas que t’étais
 — Que j’étais quoi ? » J’le fusille du regard. Il claque la porte et s’tire. LĂ  c’est l’moment malaisant d’l’histoire. Soit j’assume, soit
 Bah j’assume. J’suis Johnny Silverhand, pas un paumard qu’à aucune confiance en lui. T’façon qu’est-ce que ça peut foutre, on est dans un pays libre - non. C’est plutĂŽt l’fait que ce soit un corpo qui m’emmerde. J’arrivais presque Ă  l’oublier avec la guitare et le jean. — On sera mieux chez moi. Pour jouer d’la guitare. Ou faire un checkup complet. Tu sais oĂč j’habite, j’te laisse conduire. _________________SamuraĂŻ C'est pour ça qu'il ne faut pas ramener les guerriers morts au combat. TĂŽt ou tard, ils finissent toujours par se rendre compte qu'ils se sont battus pour rien. » Messages 43Univers Cyberpunk 2077Organisation Mafia Portuaire Takemura Goro - BakenekoSujet Re Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Sexy-Goro [ Dim 3 Avr - 1533 ]C’est plus compliquĂ© qu’il n’y paraĂźt. On s’imagine qu’il suffit de savoir oĂč placer ses doigts et que le reste se fera seul, mais pas du tout. Il faut appuyer assez fort sur les cordes pour ne pas avoir un son aussi dĂ©sagrĂ©able qu’une volaille qu’on Ă©gorge. Il me montre les accords, mais ça ne fait pas le mĂȘme son quand c’est mon tour, alors il vient derriĂšre moi, et pose ses doigts sur les miens, pour me montrer la fermetĂ© nĂ©cessaire lorsque l’on tient une guitare et que l’on veut refaire le monde dans un riff endiablĂ©. Le dĂ©clic est lĂ , et quand il se recule, je me dĂ©brouille seul pour refaire les notes qu’il m’a apprises. Je recommence deux trois fois, en boucle, toujours plus sĂ»r de mes gestes. J’imagine que quand on est un virtuose, cet instrument peut devenir un prolongement de son corps capable d’exprimer ce que les mots ne peuvent pas. Ce soir, j’ai redĂ©fini ma vision de la musique. Un peu comme la fois oĂč j’avais accompagnĂ© Arasaka-sama Ă  un OpĂ©ra. Mais dans un autre ne pense pas que je m’entrainerai tous les jours, je n’en ai pas le loisir. Et puis, mĂȘme si ça a l’air simple quand on voit Johnny le faire, je ne saurais jamais extĂ©rioriser quoi que ce soit par le biais d’une guitare, ou de quoi que ce soit d’autre. J’ai appris Ă  garder mes Ă©motions sous clef. A ne pas en parler. A les rĂ©primer au mieux, ne pas y songer, et faire mon devoir. Et ça me convenait ainsi. Silverhand s’agenouille face Ă  moi, relativement satisfait de ce que je fais, puisqu’il m’explique comment se joue la suite du morceau. Je me dĂ©brouille pas trop mal, je crois. Ensuite, c’est comme si je m’étais assis sur la tĂ©lĂ©commande pendant un film, et que c’était passĂ© Ă  la scĂšne suivante. Je ne sais pas comment je me suis retrouvĂ© contre le mur, Ă  titiller la langue de Silverhand avec la mienne, et avec ses mains sur et sous mes vĂȘtements. On est interrompus par les autres membres du groupe, et je reviens brutalement Ă  la rĂ©alitĂ©. Je les remercie par la pensĂ©e, je ne sais pas ce qui se serait passĂ© s’ils n’avaient pas brutalement fait irruption dans la loge. Je rĂ©arrange ma chemise, remet la capuche de ma veste sur ma tĂȘte, et passe devant Johnny sans un mot. Je vais le ramener chez lui, et je rentrerai. Et on ne se reverra plus jamais. C’est simple. Je peux le monte dans ma voiture enfin, celle de prĂȘt, mais elle refuse de dĂ©marrer puisqu’aprĂšs scanner, elle estime que mon taux d’alcool dans le sang n’est pas “propice Ă  une conduite sĂ©curitaire”. Je la maudis de me retenir en otage en compagnie de Johnny qui ne porte rien d’autre qu’un gilet pare-balle et un pantalon en cuir. C’est sa prĂ©sence qui n’est pas sĂ©curitaire, je n’ai aucune idĂ©e de ce que je suis en train de faire, Ă  m’attacher Ă  ce type qui a dĂ» souffler une centaine de fois Ă  l’oreille de V de me descendre. Plus je dĂ©couvre cette sensibilitĂ© qu’il nie et cache derriĂšre un vocabulaire toujours plus vulgaire et une attitude de bad boy dĂ©modĂ©e, plus j’ai envie de rester. Il faudrait que j’aille voir un charcudoc. Ça, c’est le comportement d’un adolescent qui flirte avec le danger et en teste les limites. Quitte Ă  se brĂ»ler en mettant la main dans les flammes. Il y a un problĂšme avec ce corps-lĂ . C’est la seule explication logique que j’ai Ă  mon proposer d’appeler un taxi, mais le dossier de mon siĂšge se retrouve brutalement en position allongĂ©e, Johnny grimpant sur moi, et reculant le siĂšge pour avoir plus de marge de manƓuvre. Je refuse deux appels entrants d’Isidore avant de couper ma liaison personnelle. Je vais regretter. Je vais totalement regretter. Me haĂŻr, penser Ă  des poĂšmes sur la mort, ramener du sakĂ© chez Isidore et rĂ©flĂ©chir Ă  un plan pour changer d’identitĂ© et fuir le pays. Je ne pourrais plus jamais regarder Mori-sama dans les yeux sans me sentir comme un traĂźtre, un moins que rien, je suis en train de foutre en l’air une vie honorable et droite, en une soirĂ©e. Je vais amĂšrement ce n’est pas encore l’heure des regrets. On verra ça demain allume la radio, sur le canal de Rituel FM avec du son aussi saturĂ© que ce qu’il joue, puis il me fait renoncer au peu de volontĂ© de lui rĂ©sister qu’il me restait. J’expĂ©rimente des sensations complĂštement nouvelles, sous le toucher expert de Johnny, mon enfer personnel. Il me fait des choses que je ne pourrais jamais raconter Ă  Isidore, ni Ă  qui que ce soit, et se dĂ©lecte des gĂ©missements qui m’échappent, et dont il est la cause. Le rĂ©veil est affreux. J’ai une migraine phĂ©nomĂ©nale. J’ai mal partout. Je suis sur la banquette arriĂšre de la voiture de prĂȘt, nu, et je remercie le ciel de m’ĂȘtre garĂ© dans une ruelle, contre un mur, lĂ  oĂč il n’y a pas de passage. Je suis tirĂ© du sommeil par le mouvement de Johnny, qui me servait de coussin et de matelas, et qui s’est hissĂ© Ă  l’avant de la voiture pour rĂ©cupĂ©rer ses clopes et s’en allumer une. Je me redresse, attrape mes vĂȘtements et me dĂ©brouille pour les enfiler, comme il l’a dĂ©jĂ  fait. J’ai les cheveux complĂštement emmĂȘlĂ©s, j’ai perdu le chouchou dans la bataille, hier. Je me penche vers l’autoradio pour l’allumer, et attrape un stylo dans la boĂźte Ă  gant pour faire tenir mes cheveux en un chignon lĂ  c’est le drame. Silverhand est trop silencieux, ma conscience commence Ă  me hurler que j’ai commis l’irrĂ©parable, et la radio annonce qu’un entrepĂŽt de Mori Inc a encore Ă©tĂ© pris pour cible par des terroristes, et qu’il a fallu une vingtaine de pompiers pour arrĂȘter les flammes, car cette fois, ce n’était pas une petite bombe artisanale ridicule. Je reste un court instant immobile, dans le flou, le temps de faire le lien. Et de passer en mode automatique. Je sors de la voiture, ouvre la portiĂšre avant, et sort Silverhand du vĂ©hicule sans aucune dĂ©licatesse, non sans lui en coller une. Je le ramasse Ă  terre, et lui colle une arme sur la tempe.— Tu t’es servi de moi. J’enlĂšve le cran de sĂ©curitĂ©. Messages 39Univers Cyberpunk Leader d'une organisation terroriste » appelĂ©e Samurai. Johnny Silverhand - Relentless Rockerboy who never gives upSujet Re Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Sexy-Goro [ Dim 3 Avr - 2103 ]Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Takemura Goro Tu sais oĂč Ă©tait Johnny Silverhand quand la bombe de la tour Arasaka a explosĂ© ? Il Ă©tait un peu partout. »J’crois que j’l’ai surpris. Ou choquĂ©. Ou les deux. Il dit plus rien jusqu’à sa voiture. Enfin, c’est pas sa voiture ça
 J’me souviens pas d’grand chose de notre soirĂ©e arrosĂ©e, mais j’suis sĂ»r et certain qu’il conduisait un truc de gros connard de riche. Plus que c’modĂšle-lĂ . Mais elle est quand mĂȘme assez casse-couille pour pas le laisser conduire en Ă©tat d’ébriĂ©tĂ©. Ah ! Rien n’vaut ma vieille Porsche 911 sans technologie Ă  la con. Le futur, c’est que des emmerdes. J’imagine que c’est l’occasion d’passer aux choses sĂ©rieuses. Non pas que
 Fin, j’sais pas mais il avait pas l’air contre non plus ? C’qui est drĂŽle, c’est que j’avais pas du tout prĂ©vu d’faire ça ce soir - non, c’est pas drĂŽle, Ă  quel moment j’aurais pu mettre dans ma checklist Se taper ce connard de corpo qu’est Goro Takemura ? J’allonge son siĂšge et j’monte sur lui. Il me repousse pas. Il Ă©teint son tĂ©lĂ©phone - j’sais pourquoi on l’appelle et d’une certaine façon, j’crois que ça m’excite. Rien que d’penser Ă  des explosions
 J’allume la radio, on sera mieux avec un peu de zic. J’sais pas si ça va le dĂ©tendre, mais ça va m’dĂ©tendre moi. Bon, j’me souviens de soirĂ©es arrosĂ©es avec Kerry dans lesquelles y’avait pas que des gonzesses, ça devrait bien s’ mes lĂšvres sur les siennes et je dĂ©boutonne sa chemise
 *Ça s’est bien passĂ©. Je crois ? Oui. ForcĂ©ment. Merde, j’arrive mĂȘme pas Ă  regretter. J’devrais regretter ? C’était bien. On Ă©tait tous les deux consentants. Tout est OK. Ah putain, c’est trop l’bordel dans ma tĂȘte - Mais V serait hyper jaloux. J’l’ai fait pour toi, bro
 Et un peu pour moi aussi. T’avais raison. Goro est plutĂŽt sexy quand il ressemble pas Ă  un corpo. Il a toujours un balai dans l’cul, mais ça, ça peut s’arranger. J’me redresse pour attraper mes clopes et j’me rhabille. Goro s’rĂ©veille Ă  son tour. Il a l’air moins frais que moi. Va falloir le faire sortir plus souvent, c’pas possible qu’un seul verre le mette dans cet Ă©tat. J’souris en le regardant s’attacher les cheveux. Il ferait un rockeur acceptable avec les cheveux dĂ©tachĂ©s, un bandana et du maquillage. J’vais devoir tout lui apprendre. J’tire une taffe alors qu’il allume la radio. AĂŻe. J’avais pas pensĂ© Ă  ça - ouais, j’pense jamais Ă  rien, c’est mon dĂ©faut principal, tout le monde le sait maintenant. Est-ce qu’il va s’imaginer que
 Oui. Évidemment. Il lui en faut pas plus pour sortir de la voiture et me tirer dehors avec lui. Et me coller un pain dans la tronche. Il a l’air vraiment fĂąchĂ©, une blague, ça passerait pas. J’lĂšve les mains en l’air quand il braque son arme sur ma tempe. — Putain, tu m’insultes lĂ . Tu crois vraiment que j’vendrai mon cul Ă  un connard de corpo dans ton genre pour que mes potes puissent faire pĂ©ter un entrepĂŽt tranquillement ? Que j’leur ai dit Vous inquiĂ©tez pas, j’le fourre un bon coup pour l’garder occupĂ©, j’vous laisse gĂ©rer la situation. » ? J’suis pas une pute, tu sais trĂšs bien que c’est pas mon style. Et franchement, j’aurais prĂ©fĂ©rĂ© ĂȘtre sur place pour faire joujou avec des explosifs. MĂȘme si la soirĂ©e Ă©tait bonne, j’aime pas laisser les autres faire le sale boulot. Alors il est bien gentil, mais il pourrait Ă©viter d’me faire passer pour un sale enfoirĂ© qui monte des plans gĂ©niaux Ă  base de diversion sexuelle. — Si t’arrĂȘtais deux secondes d’te comporter comme un con, tu t’souviendrais que j’prĂ©vois jamais rien. J’propose des trucs, on me trouve du matos, on m’donne un plan simple que je n’suis jamais et j’fonce dans le tas en espĂ©rant avoir une mort spectaculaire. Il va pas m’tuer, si ? Putain, ce serait Ă  chier d’crever dans une ruelle de merde, aprĂšs avoir couchĂ© avec cet enculĂ©. Si jamais j’reviens, j’espĂšre que j’m’en souviendrais pas. Il est beau le leader des anti-corpo. Il donne son cul Ă  un costard. — 
 Disons que c’est mal tombĂ©. J’pensais pas que tu te pointerais. Ni qu’on passerait la nuit ensemble. Comment j’aurais pu prĂ©voir ça putain ? J’devais les rejoindre aprĂšs l’concert. Ils ont vu que j’étais pas lĂ , ils y sont allĂ©s quand mĂȘme, fin de l’histoire. Alors ouais, j’savais que les appels que tu recevais hier Ă©taient liĂ©s Ă  ça, et j’t’ai rien dit, voilĂ . J’suis un terroriste, pas un enfant de chƓur, j’aurais Ă©tĂ© con de te prĂ©venir
 Franchement, tu vas pas me faire croire que t’es l’seul toutou corpo capable de gĂ©rer ces situations ? Ils font quoi quand tu prends un jour de congĂ© ? Ils se chient dessus en espĂ©rant avoir aucun problĂšme sĂ©rieux ? Ça m’emmerde que ça ait l’air d’ĂȘtre un coup de pute, et ça m’emmerde de dire ça Ă  haute voix, mais j’regrette pas d’avoir choisi d’passer la soirĂ©e avec toi. C’était presque aussi excitant qu’un feu d’joie. C’es chiant parce qu’on partageait enfin un truc sympa. Maintenant, il va remettre son masque de connard de corpo et m’traiter comme une merde. Heureusement que j’ai une dĂ©termination et un charisme inĂ©branlables. — Pose ce flingue, merde. Tu sais qu’la manipulation et l’hypocrisie, c’est pas mon domaine, c’est l’tien. _________________SamuraĂŻ C'est pour ça qu'il ne faut pas ramener les guerriers morts au combat. TĂŽt ou tard, ils finissent toujours par se rendre compte qu'ils se sont battus pour rien. » Messages 43Univers Cyberpunk 2077Organisation Mafia Portuaire Takemura Goro - BakenekoSujet Re Salut, Satan m'a virĂ© de l'enfer alors j'suis venu te dire bonjour. Ft Sexy-Goro [ Dim 3 Avr - 2314 ]Je prends le temps de respirer, et je le laisse s’expliquer. En effet. Je le connais assez pour savoir qu’il n’anticipe jamais rien, vit l’instant prĂ©sent et ne se soucie jamais des consĂ©quences de ses actes. Il dit et il fait ce qu’il veut, quand il le veut. Etait-ce de cette libertĂ© que V me parlait, souvent? Je n’ai pas l’impression d’ĂȘtre bridĂ©. Que ferais-je de plus de temps pour moi? Je prĂ©fĂšre me mettre au service d’une cause qui me semble juste, plutĂŽt que de ne m’occuper seulement de ma petite personne. Je trouve qu’il est bien moins grossier que d’habitude, il fait un effort considĂ©rable pour se justifier, j’imagine que je lui fais un minimum peur. Bien.— Je veux des noms. Bien sĂ»r qu’il n’y a pas que moi. Je ne suis mĂȘme pas celui en charge de la sĂ©curitĂ© de Mori Inc. Le souci, c’est que tu t’en es pris Ă  moi, et que pour mon boss, ton nom sera toujours en quelque sorte liĂ© au mien. Je suis celui qui connaĂźt le fou qui a osĂ© se dresser face Ă  la Corpo qui tient le monde, et bien que j’ai clairement expliquĂ© de pas connaĂźtre plus que ton nom, on va avoir des doutes. Surtout si je continue Ă  disparaĂźtre, et Ă  ne pas rĂ©pondre au n’ai pas parlĂ© de V. Trop compliquĂ©. Ce n’est pas de la dissimulation d’informations, c’est aller droit aux faits. Son plaidoyer Ă©tait convaincant, mais je ne baisse pas mon arme pour autant. Le pire, c’est que ça le fait rire. Ce type est fou. Je lui en remets une de ma main libre, histoire de le faire taire, et je le lĂąche. Il ne dira rien. Il est aussi bornĂ© que moi.— Si je fais arrĂȘter certains de tes complices, tu rĂ©agiras aussi mal que moi. Ne m’en tiens pas range mon arme. Ca ne sert Ă  rien. On en revient Ă  la problĂ©matique de dĂ©part qu’est ce qu’on fiche ensemble? À quoi on joue? J’enfouis mes mains dans mes poches. — Je ne suis pas hypocrite. Ce serait une perte de temps. Je t’aurais dĂ©jĂ  mis une balle dans la tĂȘte, s’il n’y avait pas
 Ça. Entre disant “ça”, je sors quelque chose de ma poche, et le lui tend. C’est la chaĂźne que portait V, celle oĂč est accrochĂ©e la balle que Vektor a retirĂ©e de son crĂąne, aprĂšs notre course poursuite avec les assassins de Yorinobu
Ensavoir plus, commenter cette citation. “Jeune homme, Ă©tudiez l’histoire, Ă©tudiez l’histoire. C’est dans l’histoire que rĂ©sident tous les secrets de l’art de gouverner.”. Winston Churchill Ă  James C. Humes, le 29 mai 1953. En anglais : "Young man, study history, study history. In history lies all the secrets of the state craft."
Qui n’a jamais entendu ou lu de citations de Winston Churchill ! Cet homme d’État britannique, connu pour ses talents d’orateur et d’écrivain, nous a laissĂ© une multitude de phrases cultes sur la politique, la guerre, la dĂ©mocratie, le succĂšs, continuant ainsi d’inspirer le monde entier ! Winston Churchill a jouĂ© un rĂŽle majeur dans la politique du monde, particuliĂšrement durant la Seconde Guerre mondiale, et il est vraiment intĂ©ressant de connaĂźtre la vie de Churchill pour saisir toute l’ingĂ©niositĂ© de ses cĂ©lĂšbres citations posĂ©es dans le contexte socio-Ă©conomique de leur Ă©poque ! Dans cet article, vous trouverez alors une compilation des 110 meilleures citations de Winston Churchill et un rĂ©sumĂ© du parcours de cet homme politique qui a marquĂ© l’Histoire. Qui Ă©tait Winston Churchill avant de devenir un cĂ©lĂšbre homme politique ? Winston Churchill naĂźt en 1874 en Angleterre dans une famille aristocratique. Il grandit dans un environnement trĂšs privilĂ©giĂ©. Durant son enfance, le petit Winston ne se distingue pas particuliĂšrement il n’est pas trĂšs bon Ă©lĂšve et sa santĂ© est fragile. Il Ă©choue une premiĂšre fois lors de l’examen d’entrĂ©e de l’école militaire, puis y est finalement admis en 1893. Au terme de son Ă©cole militaire, le jeune Winston est rapidement nommĂ© officier de cavalerie. Aventurier et fougueux, il poursuit sa carriĂšre militaire en Inde, au Soudan et en Afrique du Sud guerre des Boers. Puis, en 1899, Winston Churchill entre en politique, d’abord au parti conservateur puis libĂ©ral. Il manque de peu d’ĂȘtre Ă©lu aux Ă©lections lĂ©gislatives. ParallĂšlement, Winston Churchill se consacre Ă  l’écriture. En 1908, il Ă©pouse Clementine Hozier, avec qui il aura cinq enfants. Winston Churchill, homme d’État britannique Une carriĂšre politique en dents de scie C’est Ă  l’ñge de 26 ans que Winston Churchill est finalement Ă©lu dĂ©putĂ©. DĂšs ses premiĂšres annĂ©es en politique, le jeune Churchill se distingue par ses discours acerbes et ses appels Ă  la rĂ©forme. De 1906 Ă  1929, il occupe diffĂ©rents postes ministĂ©riels et connaĂźt un parcours politique en dents de scie. C’est lors de la PremiĂšre Guerre mondiale, puis de la Seconde Guerre mondiale que Winston Churchill va surtout se faire remarquer. Plusieurs prises de positions et actions le rendent populaire. Winston Churchill multiplie notamment les avertissements sur le risque du nazisme lorsque Hitler accĂšde au pouvoir. Les Ă©vĂ©nements vont alors rapidement lui donner raison. Le symbole de la rĂ©sistance anglaise au nazisme En 1939, lorsque le Royaume-Uni et la France entrent en guerre avec l’Allemagne, les prĂ©dictions de Churchill vont s’avĂ©rer bien rĂ©elles. D’abord nommĂ© premier lord de l’AmirautĂ©, Winston Churchill devient Premier ministre du Royaume-Uni en 1940 aprĂšs Neville Chamberlain, Ă  l’ñge de 66 ans. Il reste au pouvoir jusqu’à la fin des hostilitĂ©s, en 1945, mais sera réélu une nouvelle fois aprĂšs le conflit, de 1951 Ă  1955. Pendant son mandat, la politique de Winston Churchill s’oriente vers un seul et unique objectif celui de battre Hitler. DĂšs lors, en chef de guerre intransigeant et fermement dĂ©cidĂ© Ă  mener son pays Ă  la victoire, Churchill va motiver les troupes. Son verbe incisif contre l’ennemi galvanise toute l’Angleterre et fait de lui le symbole de la rĂ©sistance anglaise au nazisme. Winston Churchill reçoit, durant toute sa vie, de trĂšs nombreuses dĂ©corations. Il sera notamment proclamĂ© citoyen d’honneur des États-Unis. Winston Churchill, grande figure du XXe siĂšcle Winston Churchill s’éteint Ă  Londres, en 1965, des suites d’un accident vasculaire cĂ©rĂ©bral. Il a alors 90 ans. Des obsĂšques nationales sont organisĂ©es. Ses funĂ©railles reprĂ©sentent le plus grand rassemblement de chefs d’État dans le monde jusqu’aux obsĂšques du pape Jean-Paul II, en 2005 112 pays y sont reprĂ©sentĂ©s. Winston Churchill ou l’artiste talentueux Une vie d’écrivain en parallĂšle Ă  sa carriĂšre politique En plus de son rĂŽle politique pendant la Seconde Guerre mondiale, Winston Churchill apparaĂźt comme un talentueux Ă©crivain, peintre et orateur. Il Ă©crit d’abord en tant que journaliste correspondant de guerre puis rĂ©dige de nombreuses autres Ɠuvres, pour la plupart historiques, dont une biographie de son ancĂȘtre le duc de Marlborough, et ses fameuses MĂ©moires de guerre. Winston Churchill a obtenu le prix Nobel de littĂ©rature en 1953. Une longue bibliographie Parmi ses trĂšs nombreuses oeuvres, on peut citer The story of the Malakand Field Force an episode of frontier war », 1898 La guerre du fleuve , titre original The river war an historical account of the reconquest of the Sudan , 1899 Savrola , 1900 From London to Ladysmith via Pretoria , 1900 Ian Hamiltons’s March , Londres, 1900 Lord Randolph Churchill , 1906 Mon voyage en Afrique , titre original My African Journey , 1908 Mes jeunes annĂ©es , titre original My Early Life , 1930 The World Crisis » en 6 volumes, 1923-31 His life and times » en 4 tomes, 1933 Mes Grands Contemporains , titre original Great Contemporaries », 1939 La DeuxiĂšme Guerre mondiale » en 12 volumes, titre original The Second World War » en 6 volumes, 1948-1954 Les grands discours , titre original The War Speeches,1939-45″, 1952 A history of the english-speaking peoples » en 4 volumes, 1956 Les meilleures citations de Winston Churchill Citations de Winston Churchill sur la guerre Vous avez eu Ă  choisir entre la guerre et le dĂ©shonneur ; vous avez choisi le dĂ©shonneur, vous aurez la guerre. » Un prisonnier de guerre est quelqu’un qui essaie de vous tuer, Ă©choue et vous demande ensuite de ne pas le tuer. » Si la guerre est horrible, la servitude est pire. » AprĂšs la guerre, deux choix s’offraient Ă  moi finir ma vie comme dĂ©putĂ©, ou la finir comme alcoolique. Je remercie Dieu d’avoir si bien guidĂ© mon choix je ne suis plus dĂ©putĂ© ! » Construire peut ĂȘtre le fruit d’un travail long et acharnĂ©. DĂ©truire peut ĂȘtre l’oeuvre d’une seule journĂ©e. » Quand on doit tuer quelqu’un, ça ne coĂ»te rien d’ĂȘtre poli. » Prenez les armes, et montrez votre valeur, soyez prĂȘts au combat ; car il vaut mieux pour nous de pĂ©rir en combattant que d’affronter le spectacle de l’outrage fait Ă  notre nation et Ă  notre autel. » À la guerre, la maxime sĂ©curitĂ© d’abord » mĂšne tout droit Ă  la ruine. » En temps de guerre, la vĂ©ritĂ© est si prĂ©cieuse qu’elle devrait toujours ĂȘtre protĂ©gĂ©e par un rempart de mensonges. » Il n’y a qu’une rĂ©ponse Ă  la dĂ©faite, et c’est la victoire. » Citations de Winston Churchill sur le succĂšs et l’échec Tout le monde savait que c’était impossible Ă  faire. Puis un jour quelqu’un est arrivĂ© qui ne le savait pas, et il l’a fait. » Le succĂšs consiste Ă  aller d’échecs en Ă©checs sans perdre son enthousiasme. » Quand vous commettez une erreur grave, elle peut vous ĂȘtre plus utile que la dĂ©cision la mieux pesĂ©e. » “Il ne sert Ă  rien de dire “Nous avons fait de notre mieux”. Il faut rĂ©ussir Ă  faire ce qui est nĂ©cessaire. » Agissez toujours comme s’il Ă©tait impossible d’échouer. » Ce n’est que quand il fait nuit que les Ă©toiles brillent. » L’histoire est Ă©crite par les vainqueurs. » La chance n’existe pas. Ce que l’on appelle chance, c’est l’attention aux dĂ©tails. » L’attitude est une petite chose qui fait une grande diffĂ©rence. » Tout le monde a son heure de gloire, mais certaines heures durent plus longtemps que d’autres. » Citations de Winston Churchill sur le courage Le courage, c’est ce qu’il faut pour se lever et parler, c’est aussi ce qu’il faut pour s’asseoir et se taire. » Le succĂšs n’est pas final, l’échec n’est pas fatal, c’est le courage de continuer qui compte. » Si vous traversez l’enfer, continuez d’avancer. » Un pessimiste voit la difficultĂ© dans chaque opportunitĂ©, un optimiste voit l’opportunitĂ© dans chaque difficultĂ©. » Passer Ă  l’action efface la peur. Qui ose gagne. » Les arbres solitaires, s’ils poussent, deviennent forts. » LĂ  oĂč se trouve une volontĂ©, il existe un chemin. » Il ne faut jamais oublier, quand un malheur vous frappe, qu’il peut trĂšs bien vous Ă©pargner un ennui pire encore. » “On ne devrait jamais tourner le dos Ă  un danger pour tenter de le fuir. Si vous le faites, vous le multiplierez par deux. Mais si vous l’affrontez rapidement et sans vous dĂ©rober, vous le rĂ©duirez de moitiĂ©. » N’abandonnez jamais. N’abandonnez jamais. Jamais, au grand jamais, n’abandonnez jamais en rien, si ce n’est pour l’honneur et le bon sens. Ne cĂ©dez jamais Ă  la force. Ne cĂ©dez jamais Ă  l’apparente puissance de l’ennemi
 » Citations de Winston Churchill sur l’esprit d’entreprise et la responsabilitĂ© On considĂšre le chef d’entreprise comme un homme Ă  abattre, ou une vache Ă  traire. Peu voient en lui le cheval qui tire le char. » La responsabilitĂ© est le prix de la grandeur. » Il est meilleur d’ĂȘtre irresponsable et dans le vrai, que responsable et dans l’erreur. » Ce qui caractĂ©rise un grand homme, c’est sa capacitĂ© Ă  laisser une impression durable aux gens qu’il rencontre. » Que la stratĂ©gie soit belle est un fait, mais n’oubliez pas de regarder le rĂ©sultat. » Le vrai gĂ©nie rĂ©side dans l’aptitude Ă  Ă©valuer l’incertain, le hasardeux, les informations conflictuelles. » Plus vous saurez regarder loin dans le passĂ©, plus vous verrez loin dans le futur. » Quand on obtient d’une chose ce qu’on en attendait, on n’en demande pas plus. » Citations de Winston Churchill sur la politique Un bon politicien est celui qui est capable de prĂ©dire l’avenir et qui, par la suite, est Ă©galement capable d’expliquer pourquoi les choses ne se sont pas passĂ©es comme il l’avait prĂ©dit. » Tout le monde peut retourner sa veste, mais il faut un certain talent pour la remettre Ă  l’endroit ! » Si vous n’ĂȘtes pas libĂ©ral Ă  vingt ans, c’est que vous n’avez pas de cƓur ; si vous n’ĂȘtes pas conservateur Ă  quarante ans, c’est que vous n’avez pas de cervelle. » ComitĂ© un groupe de personnes incapables de faire quoi que ce soit par elles-mĂȘmes qui dĂ©cident collectivement que rien ne peut ĂȘtre fait ! S’occuper des choses les plus sĂ©rieuses du monde n’est possible qu’à condition de comprendre aussi les choses les plus dĂ©risoires. » La politique est plus dangereuse que la guerre
 À la guerre, vous ne pouvez ĂȘtre tuĂ© qu’une seule fois. En politique, plusieurs fois. » Pour un responsable politique, il n’y a pas pire erreur que d’entretenir de faux espoirs, destinĂ©s Ă  ĂȘtre balayĂ©s par les Ă©vĂ©nements. » Avoir foi en la perfection de l’homme, c’est trĂšs bien chez un homme d’Église, pas chez un Premier ministre. » Je ne contredis pas Monsieur le dĂ©putĂ© lorsqu’une vĂ©ritĂ© lui Ă©chappe de temps Ă  autre. » Jeune homme, Ă©tudiez l’histoire. C’est dans l’histoire que rĂ©sident tous les secrets de l’art de gouverner. » Citations de Winston Churchill sur les États et hommes d’État Si Hitler envahissait l’enfer, nous devrions ĂȘtre prĂȘts Ă  nous allier mĂȘme avec Satan. » Pour ma part, je ne vois pas de grandeur dans un pays qui est maĂźtre des mers mais qui est incapable de vider ses Ă©gouts. » Lorsque je suis Ă  l’étranger, je m’impose de ne jamais critiquer ni attaquer le gouvernement de mon pays. Je me rattrape quand je rentre. » L’influence bĂ©nĂ©fique que les femmes de nos hommes d’État ont exercĂ©e sur la vie de leurs maris est un chapitre de l’histoire d’Angleterre qui reste Ă  Ă©crire
 » Il y a nĂ©cessairement dans la vie d’un homme d’État de nombreuses occasions oĂč il dĂ©pend de l’amour, de la perspicacitĂ©, de la profonde compassion et du dĂ©vouement de sa femme. » La Russie est un rĂ©bus enveloppĂ© de mystĂšre au sein d’une Ă©nigme. » L’Angleterre s’écroule dans l’ordre, et la France se relĂšve dans le dĂ©sordre. » Les AmĂ©ricains leur psychologie nationale est telle que plus l’idĂ©e est grande, plus ils s’acharnent Ă  la mener Ă  bonne fin, en y mettant tout leur coeur et toutes leurs forces. C’est un trait de caractĂšre admirable, Ă  condition que l’idĂ©e soit bonne. » J’ai pris soin de De Gaulle un peu comme on Ă©lĂšve un jeune chien, mais il mord maintenant la main qui l’a nourri. » Un pays qui oublie son passĂ© est condamnĂ© Ă  le revivre. » Citations de Winston Churchill sur le socialisme et le communisme Le vice inhĂ©rent au capitalisme consiste en une rĂ©partition inĂ©gale des richesses. La vertu inhĂ©rente au socialisme consiste en une Ă©gale rĂ©partition de la misĂšre. » Sous le capitalisme, les gens ont davantage de voitures. Sous le communisme, ils ont davantage de parkings. » Christophe Colomb fut le premier socialiste. Il ne savait pas oĂč il allait, il ignorait oĂč il se trouvait et il faisait tout cela aux frais du contribuable. » Le socialisme est une philosophie de l’échec, un principe de l’ignorance et l’évangile de la jalousie. » Citations de Winston Churchill sur la dĂ©mocratie Le meilleur argument contre la dĂ©mocratie, c’est une conversation de cinq minutes avec l’électeur moyen. » La dĂ©mocratie est le pire systĂšme de gouvernement, Ă  l’exception de tous les autres qui ont pu ĂȘtre expĂ©rimentĂ©s dans l’histoire. » La dĂ©mocratie est un mauvais systĂšme, mais elle est le moins mauvais de tous les systĂšmes. » La diffĂ©rence entre dictature et dĂ©mocratie ? En dĂ©mocratie, lorsque l’on frappe Ă  votre porte Ă  6 heures du matin, c’est le laitier. » Citations de Winston Churchill sur l’écriture et la parole Si nous sommes maĂźtres des mots que nous n’avons pas prononcĂ©s, nous devenons esclaves de ceux que nous avons laissĂ© Ă©chapper. » L’écriture est une aventure. Au dĂ©but, c’est un jeu, puis c’est une amante, ensuite, c’est un maĂźtre et ça devient un tyran. » Excusez-moi de devoir lire mon texte, je n’ai pas eu le temps de l’improviser. » L’Histoire me sera indulgente, car j’ai l’intention de l’écrire. » En avalant les mĂ©chantes paroles qu’on ne profĂšre pas, on ne s’est jamais abĂźmĂ© l’estomac. » Il est une bonne chose de lire des livres de citations, car les citations lorsqu’elles sont gravĂ©es dans la mĂ©moire vous donnent de bonnes pensĂ©es. » Citations de Winston Churchill sur le changement Mieux vaut prendre le changement par la main avant qu’il ne nous prenne par la gorge. » Un fanatique est quelqu’un qui ne veut pas changer d’avis et qui ne veut pas changer de sujet. » Il n’y a rien de nĂ©gatif dans le changement, si c’est dans la bonne direction. » Pour s’amĂ©liorer, il faut changer. Donc, pour ĂȘtre parfait, il faut avoir changĂ© souvent. » Il n’y a aucun mal Ă  changer d’avis. Pourvu que ce soit dans le bon sens. » Citations de Winston Churchill sur la vie et la sociĂ©tĂ© Nous gagnons notre vie avec ce que nous recevons, mais nous lui donnons un sens avec ce que nous donnons. » La vie ? Le voyage vaut la peine d’ĂȘtre fait une fois. » La grande leçon de la vie, c’est que parfois, ce sont les fous qui ont raison. » Vous avez des ennemis ? C’est bon. Cela signifie que vous avez dĂ©fendu quelque chose, quelque part dans votre vie. » Il n’arrivera jamais au bout du voyage, celui qui s’arrĂȘte pour jeter une pierre Ă  tous les chiens qui aboient
. » Heureusement que la vie n’est pas si facile, sinon on arriverait trop vite Ă  la fin. » L’un des problĂšmes de notre sociĂ©tĂ©, c’est que les gens ne veulent pas ĂȘtre utiles, mais importants. » Le pouvoir de l’homme s’est accru dans tous les domaines, exceptĂ© sur lui-mĂȘme. » Une sociĂ©tĂ© peut mourir de faim sans se rĂ©volter, mais enlevez-lui la justice et les couteaux sortiront. » La principale leçon de l’Histoire est que l’espĂšce humaine est incapable d’apprendre. » Les empires du futur seront spirituels. » Je suis un optimiste, il n’apparaĂźt pas trĂšs utile d’ĂȘtre quoi que ce soit d’autre. » Les hommes trĂ©buchent parfois sur la vĂ©ritĂ©, mais la plupart se redressent et passent vite leur chemin comme si rien ne leur Ă©tait arrivĂ©. » Les chiens vous regardent tous avec vĂ©nĂ©ration. Les chats vous toisent tous avec dĂ©dain. Il n’y a que les cochons qui vous considĂšrent comme leurs Ă©gaux. » Un conciliateur, c’est quelqu’un qui nourrit un crocodile en espĂ©rant qu’il sera le dernier Ă  ĂȘtre mangĂ©. » Rien dans la vie n’est plus rĂ©jouissant que de se faire tirer dessus sans rĂ©sultat. » Citations de Winston Churchill sur la critique et l’opinion La critique peut ĂȘtre dĂ©sagrĂ©able, mais elle est nĂ©cessaire. Elle est comme la douleur pour le corps humain elle attire l’attention sur ce qui ne va pas. » Il vaut mieux faire l’information que la recevoir ; il vaut mieux ĂȘtre acteur que critique. » Si deux hommes ont toujours la mĂȘme opinion, l’un d’eux est de trop. » Certains hommes changent de parti en fonction de leurs opinions, d’autres changent d’opinion en fonction de leur parti. » C’est une belle chose d’ĂȘtre honnĂȘte, mais il est Ă©galement important d’avoir raison. » Je suis toujours prĂȘt Ă  apprendre, bien que je n’aime pas toujours qu’on me donne des leçons. » Ne me faites pas d’objections. Les difficultĂ©s en feront assez d’elles-mĂȘmes. » Vous pouvez forcer les gens Ă  vous obĂ©ir ou Ă  se soumettre, mais vous ne pouvez pas les forcer Ă  ĂȘtre d’accord. » Citations de Winston Churchill sur l’alcool Quand j’étais plus jeune, j’avais comme rĂšgle de ne jamais boire d’alcool fort avant le dĂ©jeuner. Maintenant, ma rĂšgle est de ne jamais le faire avant le petit-dĂ©jeuner. » Le secret de ma vitalitĂ© ? Je n’ai dans le sang que des globules rouges l’alcool a tuĂ© depuis belle lurette tous mes globules blancs
 » J’ai retirĂ© plus de choses de l’alcool que l’alcool ne m’en a retirĂ©es. » Ne croyez surtout pas que je fume toute la journĂ©e ! Je suis bien trop tempĂ©rant pour cela. Il s’agit en rĂ©alitĂ© de faux cigares ils sont creux et remplis de cognac Ă  l’intĂ©rieur
 » Citations de Winston Churchill inclassables Je n’ai rien Ă  offrir que du sang, du labeur, des larmes et de la sueur. » cĂ©lĂšbre phrase prononcĂ©e lors du discours politique d’investiture de Churchill en tant que Premier ministre du Royaume-Uni Une pomme par jour Ă©loigne le mĂ©decin
 si on vise bien. » jeu de mots, faisant rĂ©fĂ©rence au proverbe anglais an apple a day keeps the doctor away – Lady Astor M. Churchill, si j’étais votre femme, je mettrais du poison dans votre cafĂ© ! – Churchill HĂ© bien moi, si j’étais votre mari, je le boirais ! » Nous sommes tous des vers
 Mais je pense que je suis un ver luisant. » Ce n’est pas la fin. Ce n’est mĂȘme pas le commencement de la fin. Mais c’est peut-ĂȘtre la fin du commencement. » Tous les matins, j’apporte Ă  ma femme le cafĂ© au lit. Elle n’a plus qu’à le moudre. » Le cheval est dangereux devant, dangereux derriĂšre et inconfortable au milieu. » Je ne crois jamais une statistique Ă  moins de l’avoir moi-mĂȘme falsifiĂ©e. » Je suis prĂȘt Ă  rencontrer mon CrĂ©ateur. Quant Ă  savoir s’il est prĂ©parĂ© Ă  l’épreuve de me voir, c’est une autre histoire. » L’histoire, avec sa lampe vacillante, avance d’un pas incertain sur les chemins du passĂ©, en s’efforçant de reconstruire des scĂšnes, de raviver ses Ă©chos, et de faire revivre avec de pĂąles lueurs les passions des jours rĂ©volus. » Il est toujours sage de regarder en avant, mais il est difficile de regarder plus loin qu’on ne peut voir. » Et vous, quelle est votre citation de Winston Churchill favorite ? N’hĂ©sitez pas Ă  partager cette citation en commentaires et Ă  nous raconter ce que vous en pensez ! 4 Commentaires pour 110 citations cultes de Winston Churchill Merci beaucoup, ce sont de belles citations. Je pense qu’elles ne sont pas assez connues, c’est bien dommage ! Certaines sont trĂšs inspirantes 🙂 RĂ©pondre [
] “Un pessimiste voit la difficultĂ© dans chaque opportunitĂ©, un optimiste voit l’opportunitĂ© dans chaque difficultĂ©.” Winston Churchill [
] RĂ©pondre Ben 11 Mar 2021 Ă  1106 Le courage, c’est ce qu’il faut pour se lever et parler, c’est aussi ce qu’il faut pour s’asseoir et se taire » 
 RĂ©pondre Serge 13 Mar 2021 Ă  1655 C’est peut ĂȘtre Ă  l’humour qu’il y a dans leurs citations que l’on reconnaĂźt les grands hommes RĂ©pondre
RDdg. 19 128 182 336 222 6 186 74 110

si vous traversez l enfer continuez d avancer