SynopsisPaprika. Paprika ou パプリカ en VO est un film réalisé par Satoshi Kon sorti en France le 21 Octobre 2006.. Dans le futur, un nouveau traitement psychothérapeutique nommé PT a été inventé. Grâce à une machine, le DC Mini, il est possible de rentrer dans les rêves des patients, et de les enregistrer afin de sonder les tréfonds de la pensée et de l'inconscient.
Japon 1997 Titre original Pafekuto buru Réalisateur Satoshi Kon Scénario Sadayuki Murai Acteurs VO Junko Iwao, Rica Matsumoto, Shinpachi Tsuji Éditeur Kazé Durée 1h21 Genre Animation, Thriller Date de sortie cinéma 8 septembre 1999 Date de sortie DVD/BR 24 mai 2017 Mima, une chanteuse adulée et extrêmement populaire, décide de quitter son groupe pour se vouer à une carrière d’actrice. Alors que cette décision provoque la colère de nombreux fans, elle persiste et accepte un petit rôle dans une série télévisée. L’image sage et édulcorée de l’icône pop est alors écornée lorsque la jeune femme doit jouer des scènes de viol collectif et se dévoile nue dans des photos de charme. Mais un fan semble bien plus virulent et rancunier que les autres. Depuis sa reconversion, d’inquiétants événements entourent Mima et ses proches des hallucinations, des menaces et pire encore… des meurtres. Sa vie glisse lentement dans un cauchemar et la fiction semble rattraper la réalité le personnage qu’elle incarne dans la série prend le pas sur elle. Qui est-elle vraiment ? Le film [5/5] Sorti sur les écrans français en 1999, Perfect blue est sans aucun doute, avec Akira Katsuhiro Otomo, 1988, Ghost in the shell Mamoru Oshii, 1995 ou encore Jin-Roh – La brigade des loups Hiroyuki Okiura, 1999, un des mangas ayant le plus durablement marqué l’imaginaire des cinéphiles français, et indéniablement également un de ceux ayant contribué à donner ses lettres de noblesse à un genre encore trop souvent considéré comme mineur. Complexe, magnifique, immersif et ô combien remarquable, Perfect blue demeure, vingt ans après sa réalisation, toujours le même uppercut cinématographique. Pour sa première incursion dans le petit monde de l’animation, Satoshi Kon nous proposait un récit trouble de psycho-killer, qui réussissait l’exploit de se révéler à la fois très original et moderne dans la construction de son récit et sa mise en images, tout en reprenant une poignée de codes issus du giallo italien des années 70, qu’il assaisonnait à sa propre sauce. En résulte donc ce qui restera sans doute le plus grand classique de l’animation japonaise des années 90, qui aurait d’ailleurs absolument sa place auprès des plus grands thrillers de cette décennie, tous pays confondus, aux côtés du Seven de David Fincher par exemple. Court, efficace, intelligent, Perfect blue est une totale réussite, un film indispensable pour tous les fondus de cinéma de genre. Le coffret Blu-ray [5/5] Édité par Kazé, le Blu-ray de Perfect blue nous arrive aujourd’hui dans une édition haute définition de très haute volée, que l’éditeur nous propose qui plus est dans un coffret littéralement sublime. Côté image, le transfert est magnifique ; même si l’ensemble accuse légèrement des outrages du temps lors de certaines séquences, la définition est dans l’ensemble d’une très belle précision. Et si la Haute Définition a parfois sur les dessins animés un fâcheux revers de la médaille les limites techniques des balbutiements de l’animation secondée par ordinateur en devenaient perceptibles avec le recul sur des grands » films d’animation, elle sied parfaitement à l’animation traditionnelle et old school pratiquée par Satoshi Kon, et Perfect blue y gagne encore en fluidité et en beauté visuelle. Bref, le rendu HD est littéralement imparable et superbe. Côté son, même constat d’excellence VF et VO sont proposées dans des mixages DTS-HD Master Audio respectant la dynamique sonore d’origine, sans en faire trop. A noter que la VF est très soignée, mais que l’on préférera la VO, pour de simples raisons artistiques. Côté suppléments, c’est du très lourd également, car Kazé fait partie de ces trop rares éditeurs qui n’oublient jamais qu’une édition collector qui se respecte se doit AUSSI d’être un bel objet. Ainsi, non content de nous proposer un boîtier superbe, avec un digipack orné d’un fourreau transparent à effet d’effeuillage voir photo ci-dessous, l’éditeur nous offre également un artbook de 64 pages, ainsi que le storyboard complet du film 192 pages. Du côté des suppléments disponibles sur la galette Blu-ray, on passera rapidement sur l’enregistrement du titre Angel of the Heart » ainsi que sur l’entretien avec Junko Iwao la voix originale de Mima pour se concentrer sur l’entretien avec Satoshi Kon qui, bien qu’assez court un peu moins de douze minutes, s’avère assez passionnant, et donne tout de même largement la parole à un cinéaste très discret, qui s’amuse par moments des questions de son interlocuteur. On terminera avec la bande-annonce japonaise.
- Perfect Blue, le film d’animation culte de Satoshi Kon sort pour la première fois en Blu-Ray en France dans
Honoring the Late Satoshi Kon 1963-2010, and his works Paranoia Agent, Millenium Actress, Perfect Blue, Tokyo Godfathers, Paprika, Roujin Z, Memories and others.
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ኸиኔαፋυծա хазիшеτըМа տ սуктУн ልкрիχу
Paprika un film de Satoshi Kon | Synopsis : Le docteur Atsuko Chiba, collègue de l'inventeur du DC Mini machine qui sert à enregistrer les rêves, le Dr. Tokita, décide, sous l'apparence de sa
Review de l'anime Perfect Blue Publiée le Vendredi, 25 August 2017 Grand nom de l’animation, Satoshi Kon est connu pour ses films emblématiques, des œuvres qui jouissent d’une solide réputation dans le monde entier. On retient Perfect Blue, Tokyo Godfathers et Paprika, notamment, mais l’artiste a aussi œuvré sur quelques séries d’animation. Nous lui devons par exemple Paranoa Agent ainsi que l’épisode 12 des OAV de Jojo’s Bizarre Adventure, marquant l’époustouflant combat contre Dio Brando. Tristement, décède en 2010 suite à un cancer, Satoshi Kon a donc laissé sa trace dans l’animation, à travers des œuvres méritant de figurer dans toute animethèque qui se respecte. Sorti en 1997, le film Perfect Blue a soufflé sa vingtième bougie cette année, il n’est donc pas anodin que Kazé ait cherché à rendre hommage à l’œuvre avec une édition collector réunissant les supports Blu-ray et DVD. Chanteuse dans un groupe d’idoles qui jouit d’une petite, mais solide réputation, Mima choisit de mettre fin à sa carrière de musicienne dans le show-biz, préférant une expérience dans le monde du cinéma. Le choix de Mima surprend les fans ainsi que Rumi, son agente, qui n’approuve pas pleinement cette réorientation. L’entrée de Mima dans le cinéma se fait via un petit-rôle, mais grâce à sa réputation, l’ancienne chanteuse obtient un rôle plus important qui marquera sa descente aux enfers. Car tandis que sa notoriété de comédienne monte et qu’elle est amenée sur des projets aussi choquants que sulfureux, Mima voit son entourage professionnel devenir la cible d’un tueur macabre. En parallèle à ces évènements, Mima se rendra rapidement compte des phénomènes étranges qui la guettent et que même sur internet, tous ces faits et gestes sont épiés… Sur le papier, Perfect Blue peut paraître peu innovant, surtout si on apprécie certaines œuvres cinématographiques de Martin Scorsese ou David Fincher qui, dans le genre du thriller psychologique, ont l’art de retourner le cerveau. Car le film de Satoshi Kon, adapté du roman de Yoshikazu Takeuchi, s’impose dans ce registre en narrant les évènements inquiétants qui vont entourer la reconversion de Mima, chanteuse d’un groupe d’idole qui va intégrer le monde du cinéma via une carrière d’actrice. Long d’environ 80 minutes, une durée finalement assez courte, le long-métrage ne perd pas vraiment de temps pour décortiquer toute une esthétique malsaine qui fait part du côté torturé du scénario. Car si les évènements les plus macabres ont lieu après un certain temps de mise en place, le décalage entre Mima et le monde qui l’entoure va, lui, démarrer rapidement et monter crescendo jusqu’à la fin du titre. Perfect Blue explore alors la psyché humaine à travers son héroïne, une femme qu’on ne sent jamais vraiment à sa place, jugée de toute part par la société, et consciente des sacrifices qu’elle doit faire pour maintenir son existence dans un univers que l’on sent rapidement sans scrupules. Il ne faut pas attendre bien longtemps pour observer les thématiques développées par le film qui, sans forcément critiquer le monde du show-business ou celui du cinéma, exploite les perversions de l’être humain pour créer un sentiment de malaise qui reste constant dans le film. Cette aura inquiétante, nous la devons aussi bien à l’intrigue qu’à la réalisation de Satoshi Kon qui s’imprègne de la vision de Mima en toutes circonstances. La mise en scène du réalisateur prend soin d’aborder l’entourage de Mima avec un certain élan glacial, une volonté qui a pour effet de dépeindre un univers cruel notamment par quelques techniques de mise en scène perturbantes ou une colorimétrie souvent et volontairement très terne. Les instants les plus colorés du film restent alors les moments où Mima rejoint son modeste appartement, ce qui s’apparente à son seul confort dans un premier temps, ou alors dans l’alter ego que la jeune femme va se forger, créant en elle-même l’image de sa propre personne quand elle était une idole, vêtue de froufrous et d’un bandeau rouge dans les cheveux. A ceci s’ajoute une capacité de Satoshi Kon à rendre choquantes des séquences de meurtre, signe des évènements impitoyables qui vont frapper l’entourage de la protagoniste. Il ne faut pourtant pas grand-chose au réalisateur pour ça des idées de meurtre particulièrement gore et des techniques de mise en scène qui parviennent à rendre le tout brusque et sans échappatoire. L’apothéose de la réalisation du cinéaste se ressent notamment dans la séquence finale, déroutante par la simplicité de la résolution de l’intrigue, mais captivante par son sa représentation de la folie, le tout donnant lieu à une course-poursuite invraisemblable qui nous fait perdre nos repères à chaque seconde. Si la réalisation joue un grand rôle dans l’ambiance globale du film, l’intelligence du scénario accomplit aussi bien cette vocation. Outre toutes les thématiques que l’œuvre peut dépeindre, c’est la maitrise du scénario qui est à saluer. Perfect Blue jouant dans la cour des thrillers psychologiques où il est question d’un assassin fou furieux qui traque une héroïne, il est facile voir rassurant de se croire en terrain connu et de chercher à deviner l’issue du récit, les différents rebondissements cherchant même à donner raison au spectateur à des moments. Pourtant, au fil des minutes, il sonne différents sons de cloches, et le spectateur n’est plus si sûr de son opinion, se demandant s’il a affaire à un meurtre pur ou à un cas de folie inconsciente chez Mima. En ce sens, la fin du film est imprévisible et le climax de Perfect Blue, aussi bien mené soit-il, est impossible à prévoir. Pourtant, avec visionnage, les pièces du puzzle s’imbriquent et les différents indices donnés par la mise en scène trouvent un sens. Pourtant, par un scénario qui semble prendre des tournures différentes à chaque fois et une trame de fond sur le tournage d’un film qui pouvait faire écho à l’histoire de Yoshikazu Takeuchi, un tel final n’était pas couru d’avance. Aussi, il est tentant de s’adonner à un second visionnage pour vérifier dans quelle mesure le film prévoyait son dénouement dès sa première seconde. Outre l’œuvre, c’est l’édition de Kazé qu’il convient de saluer. Pour un prix somme toute assez modeste étant donné les dimensions du coffret, l’éditeur propose une monture tout à fait convaincante. Coffret au format A4 couverte par un fourreau plastifié, l’objet accueille deux livrets de bonne taille l’un, d’une soixantaine de pages, consacré aux artworks couleur et à un entretien passionnant avec Satoshi Kon sur l’œuvre et le second, un épais cahier de presque deux-cents pages, propose le storyboard du film et des scènes coupées. En somme, des outils idéals pour approfondir la connaissance de l’œuvre tout en contribuant à la noblesse de l’édition qui, entre les mains, a fière allure. Les deux galettes, un DVD et un Blu-ray, sont à insérer sur un simple présentoir cartonné, assez fragile certes, mais qui trouve sa place dans le tout. L’essentiel étant alors de ne pas manipuler et ranger les différents éléments comme un sauvage… Côté suppléments, on notera des bonus forts appréciables comme un entretien avec Junko Iwao, seiuu de Mima, et avec Satoshi Kon. Finalement, le seul bémol d’édition restera la remasterisation en haut définition qui est loin d’honorer toutes les attentes, l’image manquant de netteté et laissant parfois un grain. Pour parler du doublage français, proposé parallèlement à la version originale sous-titrée, celle-ci est de bonne facture. Si le bémol restera les comédiens sur quelques rôles secondaires qui manquent de conviction, Marie-Eugénie Maréchal campe une Mima assez envoutante par ses doutes et sa peine à s’imposer dans un univers où règnent des phénomènes inquiétants. Alors, si Perfect Blue est un film brillant par la maitrise de son intrigue et de sa réalisation et profitant de thèmes complexes et donnant à réfléchir, Kazé fait honneur au travail de Satoshi Kon avec une édition luxueuse, une monture comme on aimerait en voir d’autres sur les pépites de l’animation japonaise. Malgré une remasterisation HD qui manque de panache, cette version se doit d’être possédée par tout amateur d’animation voire de cinéma. Critique 1 L'avis du chroniqueur Takato 17 20 Reviews of the dvd volume Perfect Blue HK Vidéo Perfect Blue - Collector
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Le 17/08/2009 à 1220 Par Après un Akira mort et enterré pour l'instant en tout cas, c'est au tour de Paprika d'être au centre d'attention à Hollywood. D'après nos confrères américains de Moviehole, Wolfgang Petersen aurait en effet fait savoir son intérêt d'en réaliser une adaptation live. Il n'est en revanche pas bien clair si le réalisateur d'origine allemande désirerait adapter l'anime de Satoshi Kon ou bien le roman de Yasutaka Tsutsui. On lui souhaite en tout cas bonne chance tant la structure narrative oscillant constamment entre réalité et fantasme s'avère des plus difficiles à maîtriser. Jeux Concours
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PerfectBlue (パーフェクトブルー, Pāfekuto Burū?) est un film d'animation japonais de Satoshi Kon, produit en 1997 et sorti en 1999 en France, inspiré du thriller Perfect Blue : Métamorphose
Si vous avez raté la projection au festival Les Utopiales à Nantes, vous n’avez pas tout perdu puisque Millennium Actress de Satoshi Kon sera projeté en 4K à partir du 18 décembre un peu partout en France. Mais si vous ne voulez pas attendre, vous avez rendez-vous en novembre pour découvrir Millennium Actress en version restaurée. Le film sera projeté au cinéma les 7 Batignolles à Paris, dans le cadre de ses soirées Japanime le 14 novembre à 20h. Autre date, autre séance avec cette fois un rendez-vous le 29 Novembre à 19h30 pour une double séance avec bien sûr Millennium Actress mais aussi Perfect Blue à 21h40, cette fois c’est au Max Linder Panorama qu’il faudra aller. Synopsis Chiyoko Fujiwara est une ancienne gloire du cinéma japonais. Aujourd’hui, âgée de 70 ans, elle vit recluse chez elle. Un jour, un homme vient lui rendre visite pour l’interviewer sur son passé. Il lui remet une clé, que Chiyoko avait perdu voilà 30 ans. Devant le journaliste et son caméraman elle se met à raconter son histoire. Une vie pleine d’amour et de passion, passée à rechercher un étrange inconnu, celui-là même qui lui a un jour remis cette clé en lui faisant la promesse de se revoir…
OriginalFrench Grande poster (47 x 63 inches) from 1998 for the Japanese film Perfect Blue. The poster is seen being flattened by linen backing. Perfect Blu
Synopsis The color of illusion is Perfect Blue. A retired pop singer turned actress' sense of reality is shaken when she is stalked by an obsessed fan and seemingly a ghost of her past. Cast Crew Details Genres Cast Director Producer Writers Editor Cinematography Art Direction Composer Studios Country Language Alternative Titles Pāfekuto Burū, 藍色恐懼, Истинная грусть, Pafekuto buru, Paafekuto buruu, 蓝色恐惧, The Perfect Blue, 未麻的部屋, 퍼펙트 블루 Genres Themes Intense violence and sexual transgression Horror, the undead and monster classics Thrillers and murder mysteries horror, creepy, eerie, blood or gothic violence, shock, disturbing, brutal or graphic scary, horror, creepy, supernatural or frighten thriller, psychological, suspense, twist or disturbing horror, gory, scary, killing or gruesome Show All… Popular reviews More This review may contain spoilers. I can handle the truth. black swan 2010 was found dead in a ditch darren aronofsky, retire bitch A smart, sexy, and seriously funny comedy!EDIT just finished reading the wikipedia summary. how do i delete this I say this in the most minnesotan way possible oh jeez Imagine your card declines at therapy and they show you this This review may contain spoilers. I can handle the truth. Perfect Blue is a serial killer film, and the killer is patriarchal films mine the tension between one's idealized self and the self one lives in reality to create drama and art*, few so adeptly recognize that for women, both of these sides are controlled by men. Perfect Blue is the story of pop icon Mima who decides to move from singing to acting and takes a minor role in a disgusting procedural show about grisly murders. But decides is intentionally on my part not the correct verb in this instance; the film does not portray it as a decision. In fact, Mima is often shown consenting to something that eventually undermines her own sense of self or… if you can believe it, was pretty confused the first time i saw this! but obviously that’s intentional on the film’s part, the blurriness hooks you in at such a psychological level. so my general reaction was cool, time around, well over a year after my first time, i found myself connecting to this on a much much much deeper level. not just because i knew what i was getting myself into but it’s also just so much more hauntingly realistic than i remember. satoshi kon really is one of the best to ever do it. darren aronofsky really went and based his entire career around perfect blue didn't he from IndieWire's 100 best movies of the '90s Satoshi Kon died from pancreatic cancer in 2010 at the tragically premature age of 46, not only did the film world lose one of its greatest storytellers, it also lost one of its most gifted seers. No one had a more accurate grasp on how the digital age would see fiction and reality bleed into each other on the most private levels of human perception, and all four of the wildly different features that he made in his brief career along with his masterful TV show, “Paranoia Agent” are bound together by a shared preoccupation with the fragility of the self in the shadow of mass media. Kon’s dreamlike work… okay but there honestly wasn't a ton of blue in this movie surprisingly The blurred line between what is real, and what is not. A theme explored in movies such as Repulsion, Belle de Jour, Triangle and Black Swan. A film aspect that's never been a favorite of mine. However, I found the outlier. Perfect Blue hooked me from the opening, and I was on the edge of my seat until the final credits rolled. Perfect Blue is batshit crazy in an eat your heart out Darren Aronofsky type of way. It's the movie Black Swan only wished it could be. It's simply a badass flick with a lot of social commentary on the media, fame and internet usage for dummies circa 1997. At least in my mind it Giallo. Fun… Mentioned by
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